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Des petites morts traversées qui donnent naissance
et saveur
​à une vie renouvelée…
15/04/2018
Nous sommes quelques personnes désireuses de créer ensemble un lieu où nos différentes conceptions du sens à donner à nos vies et à la vie en société sont mises en dialogue avec les évangiles, les événements du monde, nos lectures, nos rencontres… dans un climat d'écoute et d'échange.
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année. 
Nous nous adressons principalement aux jeunes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
​Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX,
Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT

Au menu des dimanches du Houmier  
​
​​2018-2019

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le thème :

Vivre avec passion​

Qu'est-ce qui vous passionne ?
Qu'est-ce qui vous concerne profondément ?


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    pour le partage en mémoire du geste de Jésus. *
  • Temps convivial.

* Voir pourquoi le partage en mémoire du geste de Jésus


Rencontre du dimanche 16 février, de 10h15 à 12h.


Notre invité :  Denis Bruyère

 
A la fin de ses humanités, Denis a commencé des études de droit. Ce n’était pas son truc. Pourtant, il l’avait cru ! Puis, il a commencé le design industriel. Le design le passionnait, mais le côté industriel le chiffonnait. Il a donc fait de la sculpture ornementale pendant deux ans et s’est retrouvé à 24 ans comme indépendant, passionné par la restauration du mobilier ancien.
Son oncle Ferdinand, antiquaire, lui permettra d’effectuer ses premiers travaux. Il commence par lui fournir une pièce à restaurer. Bien que débutant, Denis s’applique à démontrer son savoir-faire en devenir. Son oncle repart satisfait. Non sans déposer un deuxième meuble. Puis, un troisième, suivi de quantité d’autres. A chaque fois, les dégâts à réparer se compliquent, se diversifient. Son oncle a eu, malgré lui, la délicatesse de ne jamais le féliciter. Il a instillé en lui le doute de l’excellence.
Durant ses 35 années de travail en atelier, Denis a d’abord découvert, pas à pas, le savoir faire de ses précurseurs. Il s’est forgé un bric-à-brac de savoirs. Au gré de ses besoins, au fil de ses promenades méditatives, à force d’obstination et de recherche, il a trouvé ce qui lui a manqué.
Avec cet immense savoir et son imagination débordante, Denis se lance dans la création. Il réalise des meubles et objets fabuleux qui sont le fruit de la rencontre, de la complicité avec chaque commanditaire car il faut connaître son désir, ses envies, découvrir son intérieur, ses intentions… L’objet se doit de compléter la personne à laquelle il se destine pour en devenir un compagnon.
Au fil des commandes, l’atelier va se peupler d’apprentis, assoiffés de découvrir ce qui ne peut s’enseigner ailleurs : l’autonomie et la création, l’essai et l’erreur, le possible et l’impossible. Surtout, l’impossible… Il dispense tout ce qu’il sait. Sans aucun secret.
 
Lors de la rencontre, nous aurons l’occasion d’échanger avec Denis sur ce que signifie devenir vraiment humain.
La recherche de l’excellence dans son métier se traduit bien évidemment aussi dans les autres aspects de sa vie. En voici une illustration : en m’envoyant une photo de lui à insérer dans la présentation, il m’écrit avec humour : Voici une photo, hihi… ne cherche-t-on pas à se compléter toute sa vie ???
Une recherche exigeante qui passe par une vie spirituelle mais aussi une belle complicité entre lui et Gwendoline, sa deuxième épouse, et leurs cinq enfants qu’ils voient grandir.
Alain

Reflets de la rencontre


Entrer dans l’univers de Denis c’est entrer à la fois dans un conte de fées, dans un coffrage de bois brut devenu cosmos, dans un objet mécanique où le merveilleux s’infiltre.
En effet, Denis, passionné par le travail du bois, par les techniques anciennes, est aussi attiré par l’originalité, le mystère, le jeu.
Son oncle antiquaire l’a beaucoup aidé en lui confiant des œuvres à restaurer sans jamais lui donner d’appréciation. Il lui a instillé le doute, la frustration, le goût de se dépasser, de viser l’excellence.
Mais c’est vraiment Gwendoline qui lui a appris qu’il pouvait être aimé pour ce qu’il est… et pas seulement pour ce qu’il fait.
Tour à tour, dans ses paroles, nous retrouvons des valeurs essentielles qui font de lui un homme et un artiste épanouis : la complicité humaine, le partage, l’empathie, la solidarité, le respect de la nature, l’écoute, le besoin d’être aimé.
Les mots « passion », « EnVie », sont les maîtres mots de Denis.
Autour de la table, nous sommes happés par son ingéniosité, par son charisme, par son goût du beau, de la relation vraie.
Denis, ce matin, sous l’impulsion de tes confidences et du choix de ton extrait musical*, tu nous as emmenés vers un ailleurs proche, le poème qui est en nous.
Merci, Denis, merci, Gwendoline, votre connivence était aussi un beau cadeau pour ce Dimanche du Houmier artistique.
Jacqueline

* Celui-ci est un hommage à l’accordéoniste argentin Astor Piazzolla par Gidon Kremer.
Ce qui compte, c’est selon moi l’émotion que la musique suscite… celle-ci fait danser la vie qui est en nous…
Nos 6 sens,  ne sont-ils nécessaire à notre EnVie de beau…de bon… d’Harmonieux…
Comme je l’ai toujours dit aux jeunes passés à l’atelier : Lorsque vous concevez un projet… il ne sera bouclé que quand vous aurez un sentiment sincère de délice devant lui… tel le cuisinier qui goûte sa sauce et la trouve au point… le compositeur qui signe sa partition…

La Passion est un moteur,
certes à puissance variable,
mais probablement indispensable ;
​elle nous conduit vers nos
 
EnVies…
​Denis Bruyere
Sagesse ou passion ?

Récemment quelqu’un m’a demandé : "A votre âge, vous devez avoir atteint la sagesse, la sérénité ?" 
Sagesse, sérénité ? 
Pas du tout. D’abord parce que je ne recherche pas la sagesse. Chez moi, c’est la passion. 
Et puis, je ne cherche pas la sérénité. Au contraire, il faut continuer à se laisser travailler par la souffrance du monde. Si on est un écrivain digne de se nom, il faut porter toute la misère du monde. Et essayer de les transformer, de les transfigurer en une sorte de lumière qui nous aide à vivre. 
François Cheng, La grande Librairie du 29 janvier 2019
​

Toute une vie pour se forger une âme !
Une vie de passion dépassante pour que l’âme se révèle
Une vie tendue, par-dessus l’abîme, vers une plus grande jouissance.
François Cheng, Quand reviennent les âmes errantes


Envie ou EnVie ?

Il était riche mais insatisfait. Il avait envie de plus. Mais de quoi ? Il vient à la rencontre de Jésus. Toutes affaires cessantes, cet homme l’interpelle : "Bon Maître, Que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle ?"
Jésus renvoie l’homme riche à la tradition des Ecritures parce qu’il sait qu’il y a là une richesse profonde. Mais tout cela est connu, archiconnu de notre homme riche : "Maître, j’ai obéi à tous ces commandements depuis ma jeunesse".
Alors nous dit le texte, Jésus le regarde avec amour et lui dit : "Il ne te manque qu’une chose : vends tout ce que tu as et partage l’argent avec les pauvres !". L’homme riche ne s’attendait certainement pas à une réponse pareille. Il n’était pas prêt à vendre tous ses biens. L’incompréhension est totale. Il s’en va tout triste.
Jésus, quant à lui, a compris que la problématique de l’homme riche était un frein, un obstacle, sur son chemin vers le Royaume. Alors il radicalise son propos. Il coupe court. Il signifie clair et net qu’il n’y a aucune possibilité de concilier une logique de pouvoir, de convoitise et une logique de service et de don.
L’homme riche voulait avoir encore plus. Il voulait développer ses biens, augmenter son pouvoir, agrandir sa puissance. Jésus lui parle de mains vides et de partage. La rupture était inéluctable !
 
Ce dialogue entre Jésus et l’homme riche est passionnant parce qu’il nous renvoie à des tas de questions concernant notre propre rapport à l’argent, à la richesse, mais aussi notre rapport au manque, notre rapport au partage, à la solidarité. Quelle est ma pratique du partage et de la solidarité ? Ce sont des questions que l’on doit se poser du point de vue d’un fonctionnement personnel mais on doit également se les poser du point de vue d’un fonctionnement collectif et global. La question des migrations aujourd’hui ne renvoie-t-elle pas à la question du partage ? Partage des richesses, partage des ressources naturelles, partage des conditions de vie acceptables. Jamais le monde n’a produit autant de richesses et pourtant la pauvreté et les inégalités ne cessent de s’aggraver.
D’après Alain Rey www.egliseprotestante.re



Découvrir la beauté secrète,
d’une vie pleinement humaine


Jésus raconte souvent des histoires, des paraboles. Voici l'histoire d'un marchand de perles fines.
Le royaume de Dieu (on pourrait lire « une vie pleinement humaine ») pourrait se comparer à un marchant qui cherche des perles, de belles perles. Dans le cours normal de ses activités, il découvre un jour une perle aux caractéristiques exceptionnelles. Jamais il n’a vu une perle d’une telle beauté !
Dès le premier coup d’œil, il se dit qu’il n’en verra pas d’autres comme celle-ci dans sa vie. Il se promet aussitôt de l’acquérir coûte que coûte. Ayant évalué ses avoirs, il prend ensuite l’audacieuse décision de tout vendre afin de se porter acquéreur de cette fameuse perle.
Seul un œil connaisseur peut apprécier la vraie valeur d’une perle. Quand il était enfant, cet homme était sans doute déjà fasciné par les perles, mais il pensait que plus elles étaient brillantes et grosses, plus elles étaient précieuses. En grandissant il avait affiné son regard. Il ne les regardait pas seulement pour ce qu’elles lui rapportaient mais pour leur beauté. Ainsi, chaque perle lui permettait d’en découvrir d’autres une encore plus précieuses et d’aiguiser son regard pour s’ouvrir à leurs beautés secrètes.
D’après Mtt 13,45-46

Prochaines rencontres :

15 mars 
     Invitée :  
     Anne Daywaille
     "Le berceau enchanté"


10 avril (vendredi)
     de 18h30- 21h
       Invité :
       Pierre Paquet
       infirmier en
       soins palliatifs
​Vous trouverez  ci-dessous quelques textes à votre disposition.
​Ils peuvent nourrir votre réflexion et le partage lors de la rencontre.
Photo
​
J’ai toujours ressenti le besoin d’aller vers mes passions. J’ai aussi eu de la peine à m’évader d’un carcan familial plutôt prégnant. Une famille très aimante mais peu habituée à comprendre mes sorties de piste. Cela effrayait un peu mes parents. Ils avaient peur de me voir sortir des sentiers battus. Par sécurité, par conformisme, on imaginait que je reste sur les rails rassurants de l’existence.
Denis Bruyère

Quelle satisfaction nous découvrons dans la recherche de l’excellence ! La perfection n’existe pas, mais ne pas la chercher, c’est déjà s’en éloigner.
Denis Bruyère

Mon en Vie me conduit à concevoir des objets qui seront transmis aux générations futures.
La pérennité me tient à cœur.

Denis Bruyère

Les travaux des anciens témoignent des modes de vie qui ont précédé notre époque. De génération en génération, ils nous ont laissé un fabuleux héritage technique qui nous aimons transmettre à ceux qui nous suivent avec passion.
Denis Bruyère

Quelle joie de provoquer des sourires d’enfants par de nombreuses surprises ! La magie, c’est le jeu des leviers qui engendrent des mouvements surprenants. La force démultipliée enclenche le glissement subtil de cachettes dissimulées qui intriguent et attirent.
Denis Bruyère

Mon oncle avait, malgré lui, la délicatesse de ne jamais me féliciter. Il m'a instillé le doute de l'excellence.
Denis Bruyère

Les très bons jours, je sens bien que je touche à quelque chose d’universel en faisant ce que je fais. Ça fait vibrer, tout cet acte de créer avec mes mains.
Nikola Zaric, sculpteur


Grâce à la beauté, le monde n'est nullement un espace neutre, insipide et insignifiant ; l'existence humaine, non plus, n'est nullement un séjour aveugle, sans but ni visée, fermée au devenir et à la possibilité de dépassement. Au contraire, le monde est plein d'attraits et d'appels, plein de signes et de sens. Et notre existence, elle aussi, est chargée de désirs et d'élans, elle va dans un sens et elle a un sens. Déjà en nous-mêmes nous poussons dans un sens, c'est-à-dire, comme je l'ai dit tout à l'heure, nous tendons vers la plénitude de notre présence au monde, à l'instar d'une fleur ou d'un arbre. Et de plus, nous tendons vers d'autres présences de beauté, vers une chance d'ouverture et d'élévation. C'est bien grâce à la beauté qu'en dépit de nos conditions tragiques nous nous attachons à la vie. Tant qu'il y aura une aurore qui annonce le jour, un oiseau qui se gonfle de chant, une fleur qui embaume l'air, un visage qui nous émeut, une main qui esquisse un geste de tendresse, nous nous attarderons sur cette terre si souvent dévastée.
François Cheng, Œil ouvert et cœur battant


Contacts :
 

Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
info@reliures.org
 
Charles REUL
04/3/80.39.11
charlesreul@live.be
​

Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com

 
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be

 
Pierre-Charles LIGOT
pcl.igot@gmail.com



Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.

​Voir  le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
Adresse du jour

Le Houmier
Rue du Houmier 84
4140 Florzé
04/344.48.81
info@reliures.org
Coordonnées GPS de la maison : 50.489783,  5.663939


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