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15/04/2018
Nous sommes quelques personnes désireuses de créer ensemble un lieu où nos différentes conceptions du sens à donner à nos vies et à la vie en société sont mises en dialogue avec les évangiles, les événements du monde, nos lectures, nos rencontres… dans un climat d'écoute et d'échange.
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année. 
Nous nous adressons principalement aux jeunes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
​Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX,
Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT

Au menu des dimanches du Houmier  
​
​​2018-2019

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Le thème :

Vivre avec passion​

Qu'est-ce qui vous passionne ?
Qu'est-ce qui vous concerne profondément ?


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* Voir pourquoi le partage en mémoire du geste de Jésus

​Rencontre du dimanche 19 mai 2019 de 10h15 à 12h.

Notre invité : Bernard Dembour


Après une enfance et une jeunesse heureuses, Bernard entre à l’université pour faire le droit. Une fois son diplôme en poche il décide de suivre pendant un an une formation en langues et devient traducteur. Puis il est engagé comme juriste dans une compagnie d’assurance. Il épouse Véronique qui est kiné. Ils ont trois filles et un garçon ainsi qu’une petite-fille.
Après un an, Bernard quitte son boulot et retourne sur les bancs de l’école. Il nous racontera ce qui l’a amené à s’inscrire à l’Ecole normale Ste-Croix pour devenir instituteur. Une passion qui remonte à l’enfance ?
Mais pourquoi donc a-t-il donné sa démission avant d’avoir presté une carrière complète ?
Aujourd’hui, il vit à la maison, assure les travaux ménagers et, pour tout de même gagner quelques sous, il fait des traductions. Vivre dans la simplicité, Bernard et Véronique trouvent cela vraiment chouette.
Après avoir lu ces quelques lignes, vous pouvez déjà le deviner, Bernard est homme passionné qui sait poser de vrais choix de vie !
Et puisqu’il a été instituteur, avec lui nous découvrirons aussi tout ce que les enfants font mieux que nous.

Reflets de la rencontre

Ce dimanche matin, nous entrons dans la classe de Bernard. La porte est grande ouverte, il nous attend, le sourire aux lèvres, une feuille de papier en main, il nous la lit sans tarder…
C’est un texte qu’il imposait à ses petits élèves le premier jour de la rentrée, avant même de leur dire bonjour.
Un texte qui lui permet de dire aux enfants que toute l’année il sera là à leurs côtés. S’il le faut, il ira les chercher là où ils sont en panne, il ne les abandonnera jamais.
D’où lui vient cette trouvaille pour accrocher l’enfant et le tenir en haleine comme il nous tient ce matin ?
Il raconte : « J’avais tous les atouts en main pour être heureux : une famille aimante et aimée, un diplôme de droit en poche, une tendre épouse et pourtant… je ne me sentais pas bien. Mon boulot ne me passionnait pas, j’avais peur de tout, je végétais. Un soir, mon père m’a parlé, il est venu me chercher dans mon marasme, a mis le doigt sur ce qui n’allait pas : « Tu n’aimes pas ce que tu fais, tu voudrais être instit... » Moment de basculement dont je rends grâce aujourd’hui. Je me suis lancé dans de nouvelles études, trois ans plus tard j’étais nommé à Don Bosco... »
Métier qui l’a passionné, non pour les différentes méthodes pédagogiques mais pour mettre en œuvre tout ce qui permettra à l’élève de se sentir bien, d’être reconnu, d’avoir confiance en lui. Il nous a rappelé les trois mots de la pédagogie salésienne : la bonté affectueuse, l’esprit de famille et la joie.
Métier qu’il a adoré, auquel il s’est voué avec une énergie débordante. Il donnait, donnait sans s’apercevoir qu’il dépassait ses limites et qu’il allait droit vers l’usure. Il nous avoue dans un style poétique qu’il lui fallait partir alors que le temps était encore beau. Avant la pension, avant de décharger complètement sa batterie personnelle.
Aujourd’hui, il fait l’éloge de la lenteur. Homme au foyer, il participe à la vie familiale, jardine, fait du vélo, effectue des petits travaux de traducteur ou de légères prestations bénévoles.
De choix en choix, Bernard est là, devant nous, bienveillant, heureux, respectueux des autres. Nous avons senti sa philosophie de vie nous pénétrer là où nous sommes le plus sensibles : dans notre être intérieur. Merci, Bernard !
A la fin de la rencontre, Alain a partagé les galettes et autres biscuits, les verres de jus de fruit ou de vin, a rappelé qu’il faisait ce geste en mémoire du dernier repas où Jésus, sachant qu’il allait mourir, confiait aux 12 la mission de poursuivre ce qu’il avait impulsé. Il devait avoir une fameuse confiance en eux pour oser dire : il vaut mieux pour vous que je m’en aille.
Il a aussi repris les paroles de l’évangile selon Marc : « Qui n’accueille pas le Royaume à la manière d’un enfant, n’y entrera pas » en les actualisant ainsi : « Qui n’accueille pas la vie à la manière d’un enfant… » Il propose de poursuivre la réflexion en signalant que cette phrase peut être comprise dans deux sens : accueillir la vie comme le ferait un enfant ou accueillir la vie comme on accueille un enfant.
Jacqueline

​Qui n’accueille pas la vie
​comme un enfant,
n’y entrera pas...

​
Comment lire cette phrase ?
Accueillir la vie à la manière d'en enfant ?
Ou accueillir la vie comme on accueille un enfant ?

​
"Plus tard, je serai un enfant"

À 40 ans, j’ai découvert l’esprit d’enfance. Qu’est-ce ? Le sens de l’étonnement, la curiosité, l’appétit, l’enthousiasme, le goût du jeu, l’humilité, la modestie, la confiance dans l’inconnu, ces qualités dont nous jouissons avant de les abîmer ou les égarer. Sans rebrousser chemin, il faut les récupérer. Aujourd’hui, je me force à lutter contre l’illusion de savoir. J’ai la passion du nouveau. Je refuse la fatigue de vivre. Je proscris le sentiment de déjà-vu ou de déjà-entendu. Je casse toute habitude. J’entends cultiver la fraîcheur, la saveur de la première fois, la naïveté éternelle.
L’art m’y aide. Quand j’admire un tableau ou que j’écoute une musique, je deviens vierge, neuf, j’assiste à une épiphanie. L’aube scintille"
​
Éric-Emmanuel Schmitt, Plus tard, je serai un enfant, Albin Michel 



L’enfance est un joyau au fond de nous 

On supportait très bien dans notre enfance de ne pas savoir et de ne pas tout comprendre ; or, devenu adulte, tout d’un coup on ne le supporte plus et on fait semblant de savoir et de comprendre. Je pense que tout ce chemin est un chemin d’étape normal, qu’il est tout à fait normal d’arriver dans le mystère, d’être à l’aise dans le mystère et de l’apprivoiser. Après, il est normal de vouloir supprimer le mystère avec l’ambition conquérante de la raison parce que l’homme ne supporte pas l’inconnu. C’est une preuve de maturité supérieure de se dire : attention il ne faut pas confondre savoir et illusion du savoir. Cette preuve de maturité de l’esprit permet de retrouver l’enfance c’est-à-dire le fait d’être à l’aise dans le mystère.

Moi ce que j’envie à l’enfance et que j’ai retrouvé finalement à quarante ans, c’est une façon d’habiter le mystère de la condition humaine, la condition humaine est toujours pour moi incompréhensible et mystérieuse c’est-à-dire que je ne sais pas pourquoi j’existe, pourquoi je mourrai, je ne comprends pas les tenants et aboutissants de la plupart de mes actes mais j’habite le mystère sans angoisse, sans le paravent des fausses certitudes ou des fausses convictions. J’habite ce mystère avec confiance, et peut-on même dire, sur le versant théologique, avec foi.
Et cela change tout. Cependant, cette confiance ou cette foi, ne se prend pas pour un savoir, ne me délivre aucune certitude, elle est simplement un vécu du mystère ; et ce vécu c’est parfois la joie, parfois l’abandon, parfois la confiance, parfois l’espérance : ce sont les couleurs du mystère.
Eric-Emmanuel Schmitt

Pour lire le texte en entier : https://www.canalacademie.com/ida5117-Eric-Emmanuel-Schmitt-Je-veux-garder-l-esprit-d-enfance-avec-une-ame-d-adulte.html


Infans

À propos de l’enfance, l’Histoire oscille, comme sur une balançoire : d’un côté, la relégation à l’ancienne d’une humanité en devenir qui ne doit pas parler à table ; de l’autre, le culte de l’enfant roi, génialement innocent et surtout « pourri-gâté ». On n’hésite pas non plus à dire que « la vérité sort de la bouche des enfants »… alors que ce dicton contredit d’emblée l’étymologie du mot enfant, qui vient du latin infans et qui veut justement dire « qui ne parle pas, qui n’a pas accès au langage ».
https://voustombezpile.com/2017/06/12/parlez-vous-lesprit-denfance/


Ce qui nous fait parler...

L’esprit d’enfance est sans paroles, et c’est ce qui nous fait parler. C’est un paradoxe, mais il n’a rien d’inouï. Notre ignorance sans fin est, de la même manière, le cœur de notre capacité à connaître, et notre inaction est ce qui nous fait œuvrer. En ce sens, l’esprit d’enfance, incapable de langage, est l’influx secret de tous les discours. Il fait calculer le mathématicien, balbutier le poète, enquêter le chercheur. Il pousse sans fin l’explorateur à avancer, l’écrivain à phraser, le politique à exhorter. Le mutisme, voilà le moteur. Pour parler, penser, agir humainement, il faut cette dérobade interne du logos, cette aphasie première et persistante. En ce sens, toute parole est exercice d’enfance. » 
Roger-Pol Droit, Esprit d’enfance, p. 47 (Ed. Odile Jacob)
Laissez les enfants venir à moi...

On présentait à Jésus des enfants pour les lui faire toucher; mais les disciples les écartèrent vivement. Voyant cela, Jésus se fâcha et leur dit: "Laissez les enfants venir à moi. Ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent. Amen, je vous le dis: Celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas." Il les embrassait et les bénissait en leur imposant les mains.
Mc 10,13-16

Ce passage de  l'évangile est révélateur de ce qui devait se passer dans l’Eglise de Marc. Certains des disciples, détenteurs du pouvoir, avaient sans doute tenté « d’empêcher » les petits, les pauvres, les exclus d’accéder à la vie de la communauté. L’Evangéliste leur remet sous les yeux le geste prophétique de Jésus : serviteur de tous, il veut qu’on « laisse venir à lui » ceux que le monde méprise et qui sont pourtant appelés à entrer dans la proximité de Dieu… en premier.

http://media.cathocambrai.com/676748.pdf

Quiconque accueille un enfant comme celui-là, m’accueille et qui m’accueille, ce n’est pas moi qu’il accueille mais celui qui m’a envoyé.
Bref, accueillir un enfant, c’est accueillir Dieu. Alors, est ce que bien avant l’enfant-roi, Jésus avait inventé l’enfant-Dieu ? Les commentaires de ce texte ont à certaines époques essayer de deviner quelles étaient les vertus de l’enfant, la pureté, la confiance voire la naïveté, l’absence de calcul, l’humilité… A dire vrai, je crois que pour parer les enfants de toutes ces vertus, il ne faut pas avoir été souvent en contact avec eux.
En fait, plutôt que de se demander quelles sont les vertus de l’enfance, il vaudrait mieux se demander "comment accueillons-nous les enfants ?" 

http://miettesdetheo.over-blog.com/2018/09/accueillir-dieu-comme-un-enfant.html


Arrêtez de nous prendre pour des enfants !

"Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu un homme, j'ai mis fin à ce qui était de l'enfant." (1Corinthiens 13,11)
Quand je participe aux célébrations à l'église, J'ai souvent l'impression que le prêtre s'adresse à l'assemblée comme à des enfants ! On y proclame aussi que nous sommes enfants de Dieu. Je préfère devenir un fils de Dieu plutôt qu'être considéré comme un "enfant" de Dieu.
​Vous trouverez  ci-dessous quelques textes à votre disposition.
​Ils peuvent nourrir votre réflexion et le partage lors de la rencontre.
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Qu'as-tu appris
à l'école ?


Graeme Allwright

Qu'as-tu appris à l'école, mon fils
A l'école aujourd'hui?
Qu'as-tu appris à l'école, mon fils
A l'école aujourd'hui?
J'ai appris qu'il n'faut mentir jamais
Qu'il y a des bons et des mauvais
Que je suis libre comme tout le monde
Même si le maître parfois me gronde
C'est ça qu'on m'a dit à l'école, Papa
C'est ça qu'on m'a dit à l'école
Qu'as-tu appris à l'école, mon fils
A l'école aujourd'hui?
Qu'as-tu appris à l'école, mon fils
A l'école aujourd'hui?
Que les gendarmes sont mes amis
Et tous les juges très gentils
Que les criminels sont punis pourtant
Même si on s'trompe de temps en temps
C'est ça qu'on m'a dit à l'école, Papa
C'est ça qu'on m'a dit à l'école
Qu'as-tu appris à l'école, mon fils
A l'école aujourd'hui ?
Qu'as-tu appris à l'école, mon fils
A l'école aujourd'hui ?
Que le gouvernement doit être fort
A toujours raison et jamais tort
Nos chefs sont tous très forts en thème
Et on élit toujours les mêmes
C'est ça qu'on m'a dit à l'école, Papa
C'est ça qu'on m'a dit à l'école
Qu'as-tu appris à l'école, mon fils
A l'école aujourd'hui ?
Qu'as-tu appris à l'école, mon fils
A l'école aujourd'hui ?
J'ai appris que la guerre n'est pas si mal
Qu'il y a des grandes et des spéciales
Qu'on s'bat souvent pour son pays
Et p't'être j'aurais ma chance aussi
C'est ça qu'on m'a dit à l'école, Papa
C'est ça qu'on m'a dit à l'école.

​Pour écouter :
​www.youtube.com/watch?v=BvMJt8Ligr0



L’enfant-poète
 
Yves Duteil

​Cet enfant couvait dans sa tête
Un poète un grand érudit
Il faisait des vers en cachette
Un beau jour il n'a plus écrit
Ses parent l'église et le maître
Peu à peu lui ont tout appris
Presque tout sauf à se connaître
A trouver son bonheur en lui
A vouloir baliser sa route
Il découvre de moins en moins
Les chemins qui s'ouvraient sans doute
Dans le creux de ses propres mains
Cet enfant grandira quand même
Et vivra peut-être très vieux
Mais sans découvrir le poème
Qui manquait pour qu'il soit heureux
Cet artiste de la tendresse
Composait des chansons si vraies
Que les gens fredonnaient sans cesse
Puis un jour ils n'ont plus chanté
A l'écran pour que les gens l'aiment
Il avait aussi maquillé
Son talent son côté bohème
Son amour et sa liberté
A vouloir faire entrer son rêve
Par un tube dans la télé
Il en avait perdu la sève
Et rompu le charme secret
Le chanteur bien longtemps encore
Chantera sans savoir pourquoi
Le public applaudit moins fort
Ses jolies chansons d'autrefois
Chacun de nous dans son domaine
Participe selon son coeur
A la grande aventure humaine
Par sa quête vers le bonheur
C'est l'idéal de notre enfance
Qui nous porte à rêver plus haut
A cultiver nos différences
Pour bâtir un monde plus beau
Mais si l'on tord et qu'on écrase
Dans des cases et sur des tableaux
Tous ceux qui gênent ou qui dépassent
Pour qu'ils rentrent dans le troupeau
Suffira-t-il pour être un homme
D'accepter que notre destin
Consiste à rentrer dans la norme
A rester sur le droit chemin ?...
Le murmure de l'imaginaire
Recèle aussi notre avenir
Mais si on l'oblige à se taire
Que la source vienne à tarir
On verra germer la colère
Et tous les espoirs dépérir
Des bourgeons que tous ces hivers
Auront préparés à fleurir
La liberté mûrit sans cesse
Dans les âmes et dans les esprits
Il faut des siècles de tendresse
Pour en cueillir un jour le fruit
Mais si l'enfant devient Poète
Il nous offre déjà celui
Que dans son coeur et dans sa tête
Pour toujours il aura cueilli.
 
Pour écouter :​www.youtube.com/watch?v=iWBXEJTfwDo


"Etre vulnérable
​est la force de l'amour."
Steve Lambert, 
auteur



Enfants, nous pensions que nous serions moins vulnérables une fois adultes. Toutefois, devenir adulte signifie accepter la vulnérabilité.
​Vivre, veut dire être vulnérable. 

Madeleine L'Engle (1918 - 2007) ​
"J'aime écrire en me plaçant dans les pas et la tête d'un enfant de 10 ans, parce qu'à cet âge-là, on essaye de comprendre mais on ne juge pas tellement. Ce qui est pour moi la définition même de la tolérance."
Gilles Paris, ​auteur, in Le Vif Express du 18 avril 2019.
​
Contacts :
 

Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
info@reliures.org
 
Charles REUL
04/3/80.39.11
charlesreul@live.be
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Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com

 
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be

 
Pierre-Charles LIGOT
pcl.igot@gmail.com



Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.

​Voir  le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
Adresse du jour

Le Houmier
Rue du Houmier 84
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info@reliures.org
Coordonnées GPS de la maison : 50.489783,  5.663939


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