Les dimanches du Houmier 2021-2022Le thème :
Vivre avec passion Qu'est-ce qui vous passionne ? Qu'est-ce qui vous concerne profondément ? Rencontre du 8 mai 2022, 10h15-12h Pierre-Paul Renders Pour son film “Des arbres qui marchent”, Pierre-Paul a rencontré des scientifiques, collapsologues, économistes, personnalités politiques, philosophes, penseurs, théologiens, psychologues. Mais aussi des personnes engagées et activistes, ainsi que des personnes impliquées dans le travail qui relie. Tous lui semblaient aborder les bouleversements liés au changement climatique avec une certaine sagesse. 8 épisodes d’environ 35 minutes, pour changer de regard, mobiliser des ressources intérieures et avancer lucidement dans un monde qui bascule. Le vrai changement de comportement (et de système) ne peut avoir lieu que s’il est ancré dans une guérison profonde de notre manière de voir et de penser le monde. C’est pourquoi Pierre-Paul a mis en avant cette phrase attribuée à Einstein : “On ne résout pas un problème en utilisant les modes de pensée qui l’ont engendré.” Avant de se précipiter sur la réponse à la question “Que faire ?”, il faut se confronter à “Comment changer ? Comment guérir ?” Les racines des catastrophes actuelles sont profondes, existentielles. Elles interrogent le sens du système auquel nous appartenons et le sens de notre vie. En visionnant ces épisodes, vous aurez l’occasion d’écouter Dominique Bourg, Adélaïde Charlier, Dominique Colin, Olivier de Schutter, Gaël Giraud, Pablo Servigne, Michel Dupuis, Philippe Lamberts, Charlotte Luyckx, Laurent Lievens, Michel Maxime Egger, Gauthier Chapelle... Il est conseillé d’avoir visionné au moins la bande annonce avant la rencontre. https://desarbresquimarchent.com Reflets de la rencontre
Changer de regard Ce dimanche matin, nous nous sommes promenés dans une forêt d’arbres qui marchent, sous la conduite d’un guide, humble, discret, tour à tour jovial ou profondément sérieux. Un jour, cet homme a changé de regard sur le vivant et cette nouvelle vision ne le quitte plus. Cinéaste de formation, à la demande du Mouvement pour un Monde Meilleur, il s’est lancé dans la création d’un reportage « Des arbres qui marchent ». Huit épisodes où se succèdent différents témoignages d’hommes et de femmes, engagé(e)s, militant(e)s, scientifiques. Toutes et tous s’interrogent, font réfléchir sur les causes des catastrophes climatiques mais aussi sociales qui sont à nos portes. Comment vivez-vous toutes ces annonces? nous demande Alain. Les mots «impuissance», «culpabilité», «espoir» «confiance ébranlée» «goutte d’eau du colibri» se croisent dans nos rangées de chaises et atterrissent dans l’oreille de notre guide qui nous propose, pourquoi pas, d’être à la fois colibri et papillon. L’effet papillon, c’est comme "un battement d’ailes de papillon au Brésil qui peut provoquer une tempête au Texas". Agir là où nous sommes, parce que c’est juste et nous donne du sens. Faites cela parce que cela vous met debout, nous conseille notre guide. Battez-vous contre la maladie mentale qu’entraînent toutes ces annonces, cherchez du sens à donner à votre vie. Il suffit de quelques personnes pour faire basculer les donnes. Nous ne sommes sur terre que pour naître plusieurs fois ! Et les mots « pardon », amour » donnent alors toute leur signification. Lui-même l’a perçu lors de deux renaissances : l’une spirituelle, l’autre écologique, toutes les deux liées et lui donnant un regard différent sur le vivant. Les personnes rencontrées pour créer les huit capsules lui ont fortement ouvert l’esprit. Elles ont mis des mots sur ce qu’il ressentait à l’intérieur. Grâce à elles, il a découvert la puissance du désir. Il a compris que se connecter à son désir profond suscitait l’action bien plus que la seule volonté. Qu’il ne fallait pas seulement être dans l’altruisme mais aussi être proche de soi-même. Notre guide nous confie qu’à force d’écouter cette voix chorale et de recueillir les témoignages, il s’est trouvé devant un tissage d’espérance qui l’a mis en mouvement. C’est une invitation à changer de regard et d’oreille ! Ces constats ne sont pas crucifiants mais "resurrexants". Deux phrases l’aident quand il est attristé ou en colère par des attitudes mortifères et les régressions aberrantes alors que l’étau se resserre devant les catastrophes annoncées : "La bête mord plus fort quand elle sent qu’elle va mourir". C’est 'bon signe' si tout devient plus aigu, plus crispé. "Le vivant fonctionne en cycles". On passe par l’hiver chaque année. La vraie source d’espérance, c’est de constater que l’on peut guérir, changer de regard, être à l’écoute non seulement des autres mais de son désir profond. Merci, Pierre-Paul. De t’écouter et d’écouter tes passeurs d’espérance nous ont permis de découvrir non seulement des arbres comme des hommes qui marchent mais aussi des hommes comme des arbres qui marchent. Jacqueline J’ai 58 ans, une femme, trois enfants, de la barbe, la peau blanche. Je fais partie d’un pays et d’un milieu social favorisé, avec l’emprunte écologique qui va avec. J’ai un mode de fonctionnement franchement intellectuel et, vous l’avez compris, je suis ancré culturellement et spirituellement dans le christianisme. Je sens que pour toutes ces raisons et dans toutes ces parties de moi-même, la situation actuelle appelle à changer mon regard et mes habitudes de penser. C’est pour cela que je suis allé auprès de personnes qui ont beaucoup de point communs avec moi mais aussi de belles différences. J’ai entrelacé leurs paroles pour essayer de traduire en une voix chorale le parcours de ma transformation.
Pierre-Paul Renders "La monstrueuse pathologie atomiste que l’on rencontre aux niveaux individuel, familial, national et international - la pathologie du mode de pensée erroné dans lequel nous vivons tous - ne pourra être corrigée, en fin de compte, que par l’extraordinaire découverte des relations qui font la beauté de la nature." Grégory Bateson « En baignant dans le mythe d’une nature agressive et compétitive, nous nous sommes battus sur le terrain imaginaire adverse. Or, nous savons désormais que compétition et coopération sont des forces antagonistes très puissantes qui coexistent à tous les niveaux du vivant. En observant le monde vivant sans œillères, nous pouvons commencer à faire le deuil du mythe d’un état de nature en guerre permanente de tous contre tous, d’un combat de gladiateurs quotidien où on ne se fait pas de quartier. Voici donc la première étape pour décloisonner notre imaginaire, pour le décomplexer et lui redonner confiance dans sa capacité à faire germer la coopération. Nous pouvons enfin, grâce aux découvertes de la science des dernières décennies, nous inspirer à nouveau du monde vivant pour innover. Ainsi, l’agroécologie, la permaculture et plus largement le biomimétisme ont pris racine dans cet incroyable réservoir de soutenabilité et de coopération qu’est la vie. Elles se sont ainsi rendu compte qu’en appliquant les principes du vivant – et en particulier la coopération– au fonctionnement de nos organisations, ces dernières se portaient beaucoup mieux, prenant ainsi soin des personnes qui y travaillent. » Pablo Servigne L'entraide, l'autre loi de la jungle S’intéressant plus particulièrement aux mécanismes d’entraide chez l’être humain, Pablo Servigne et Gauthier Chapelle ont pu mettre en évidence plusieurs éléments essentiels : L’entraide est spontanée : cela est particulièrement visible en temps de catastrophe. si l’entraide est spontanée chez l’être humain, elle dépend également de son environnement : plus on évolue dans un contexte social coopératif, plus on développe des automatismes d’entraide. L’entraide à l’intérieur des groupes se base sur l’une des normes sociales les plus répandues à travers le monde : la réciprocité, qui veut que, lorsque quelqu'un nous aide, nous l’aidions à notre tour. Mais si puissante que soit cette logique de réciprocité entre deux personnes, elle tend à se diluer avec l’augmentation du nombre d’individus dans un groupe. D'autres mécanismes peuvent alors la renforcer : le mécanisme de réputation, la récompense des comportements vertueux et la punition des comportements antisociaux. Trois ingrédients permettent aux groupes de favoriser l’entraide en leur sein : le sentiment de sécurité, le sentiment d’égalité et le sentiment de confiance. Des facteurs extérieurs peuvent également influencer l’entraide au sein d’un groupe : un ennemi commun, un milieu hostile, l’existence d’un objectif commun. Les dangers et les défis favorisent donc l’entraide. Consommer indéfiniment ?
Là où la spiritualité et ses deux fonctions nous portent traditionnellement au-delà de l'espace social, les formes modernes de spiritualité nous rabattent vers l'espace intérieur de la production et de la consommation. Il n'est de spiritualité moderne que honteuse, rabattant toute extériorité dans l'immanence du social. il est possible d'évoquer une forme d'autisme collectif, de civilisation autistique. Nous n'aurions d'autre voie d'accomplissement, d'achèvement de notre propre humanité que la consommation. Assortie à la croissance réputée infinie, la consommation nous permettrait collectivement d'accéder au seul infini possible, à savoir celui de consommations indéfiniment reconduites et toujours plus gourmandes, saturant toutes espèces d'angoisse et autres sources d'insatisfaction, toute forme de désir infini. Dominique Bourg, "Une nouvelle terre", Desclée de Brouwer L’écologisme une nouvelle religion de masse ?
L’écologisme est parfois désigné par ses détracteurs comme une nouvelle religion de masse: prescriptive, culpabilisante, aliénante, dominatrice voire dictatoriale. Le retour par la fenêtre de la culpabilité judéo-chrétienne qu’on avait chassée par la porte ? Pourtant, les faits sont là : des erreurs ont été commises, des fautes sont toujours en cours, des crimes continuent d’être perpétrés. Comment gérer la colère ? celle qui vise les responsables principaux, les criminels sans scrupules ; et celle qu’on dirige contre soi, la culpabilité d’être impuissant à sortir d’un système destructeur. Si la colère peut être un moteur pour l’action, si la culpabilité peut faire naître un désir de changement, il y a un vrai danger de rester englué dans ces deux sentiments paralysants. Je le ressens profondément en moi. Pierre-Paul Renders Sortir de l’aveuglement Nous qui avons poussé sur ce terreau, nous portons une plus grande responsabilité, nettement en fonction de notre niveau de vie, de notre emprunte écologique. Nous devrions être les premiers à changer mais comme nous ne sommes pas les premiers touchés par les catastrophes beaucoup d’entre nous restent très lents à sortir de l’aveuglement. Du coup ça me parle de rencontrer des personnes de ce milieu là qui ont ouvert les yeux et essayé d’aller vers la guérison. Pierre-Paul Renders S’émerveiller du quotidien
"Il ne suffit pas d'être en vie, il faut être vivant. C'est à dire savoir à chaque instant qu'on est au coeur d'un prodige et être en contact, en harmonie avec lui. C'est difficile, mais lorsqu'on parvient à en prendre conscience, on en reçoit un perpétuel émerveillement qui paie au centuple des efforts que l'on a consentis. Le plus souvent, nous voyons, mais nous ne regardons pas, nous entendons, mais nous n'écoutons pas. Les choses nous bousculent au lieu que nous portions la main sur elles. Nous devrions en disposer pour notre bonheur, et ce sont elles qui nous possèdent pour notre angoisse. Pourtant chacun de nous est au centre de tout, au milieu de l'univers entier. Chacun de nous possède les portes que le créateur (ou la nature, comme l'on voudra) lui a données pour y pénétrer. Mais nous oublions de les ouvrir. Pour ma part, je suis sans arrêt ébloui par le phénomène de la vie." René Barjavel "L’homme moderne aurait besoin de trouver une naïveté seconde : malgré notre tentation de tout organiser, tout planifier, tout maîtriser, garder cette capacité de s’étonner de ce qui advient sans qu’on l’attende, s’étonner de ce qui surgit dans notre histoire comme une grâce, un don inattendu." Paul Ricoeur Savoir s’émerveiller ne rend pas forcément plus heureux ? Pour qui considère le bonheur comme un confort, l’émerveillement est plutôt un dérangement. Raphaël Enthoven https://www.lareserve-mag.com/raphael-enthoven-3/ "Ne s'émerveiller de rien est beaucoup plus bête que s'émerveiller de tout." Fiodor Dostoïevski On travaille à la joie
en accueillant le réel tel qu’il est. La joie est un oui à la vie ! Pour Clément Rosset [philosophe français, disparu en 2018], “la joie est paradoxale ou n’est pas”, car, en fait, on va tous mourir. On va être trahi, on va être déçu… Il dit aussi que pour nous rendre le monde acceptable, il nous arrive de créer un autre monde, son double. Ce qui serait intéressant c’est de ne pas avoir ce besoin, et de voir le monde tel qu’il est. Mais il faut pouvoir supporter de regarder le monde tel qu’il est, et pour le supporter, il y a cette joie, paradoxale. Clément Rosset combat l’illusion en disant : “Regardez la vie comme elle est dure. Mais cela n’empêche pas la joie”. Et, si la joie est possible alors que j’accepte que le monde est dur, alors cela veut dire que la joie est vraiment fondamentale. La joie est la force majeure, selon lui. La joie, ce n’est pas seulement quand tout va bien ? Ce qui me semble important, ce n’est pas de rechercher la joie pour la joie, c’est perdu d’avance, il faut lui donner de l’espace. S’y rendre attentif, car elle est un indicateur : elle dit ce qui importe pour soi. Et on travaille à la joie en accueillant le réel tel qu’il est. La joie est un oui à la vie ! Xavier Verougstraete https://www.lalibre.be/culture/arts/2021/01/18/svp-noubliez-pas-detre-en-joie-P7AS3LA3AJGSRO6QMGD3RBQ66Y/ Une proposition inouïe d’un amour gratuit
Des penseurs (anthropologues, scientifiques, philosophes et théologiens) cherchent à comprendre pourquoi, comment, par quel phénomène, à un moment précis de l’histoire humaine correspondant à celui de la présence de Jésus de Nazareth dans notre monde, a pu apparaître de cette façon, totalement nouvelle, impensable, "insensée", parce que presque "sur-humaine", de concevoir les relations entre les humains. Il s’agit, en effet, de relations exclusivement enracinées dans la proposition inouïe d’un amour gratuit, inconditionnel et total qui se situe à l’extrême opposé des relations humaines « normales » dictées par la lutte pour la survie, la peur, la violence, la recherche du pouvoir, l’oppression et l’exploitation des plus faibles de la part des plus forts. De sorte que ces penseurs sont d’avis que nous nous trouvons ici face à ce qu’ils appellent un virement évolutif dans la qualité des rapports humains ou, mieux, face à une nouvelle émergence cosmique qui marque le début de nouvelles possibilités et qui est à l’origine d’une nouvelle forme ou d’une nouvelle manière humaine d’exister sur notre Planète et qui aurait pris corps et se serait manifestée avec une évidence et une intensité uniques dans la personne de Jésus de Nazareth. Bruno Mori http://brunomori39.blogspot.com/2022/ |
Pour visionner les capsules,
cliquez sur chaque icône ci-dessous. La règle d'or
La règle d’or : tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites le pour eux. Cela ouvre un infini du désir de ce qu’on voudrait que les autres fassent pour moi. Mais c’est moi qui me mets au service de l’humanité et j’en reçois toujours au centuple de ce que je donne. Il n’y a pas de relation humaine sans cela. Cela commence par le mère et son enfant, puis très vite le papa. Et dans aucune de nos relations véritables c’est absent. La vraie question, c’est comment nous réussissons à mettre cela sous le boisseau et à nous construire un imaginaire de nos relations sociales dans lequel l’amour serait absent. On se raconte des films pas possibles pour se dire les uns aux autres que ce qui nous relie c’est tout sauf l’amour : la maximation du profit, le rendement, la main invisible des marchés… Tout cela ce sont des fariboles. Gaël Giraud Une civilisation du muscle ou du squelette J’utilise une métaphore : on serait dans une civilisation du muscle, une civilisation qui travaille par la force, par "j’impose", par je "tiens". Je pense qu’il y a des civilisations qui sont des civilisations du squelette et que biologiquement on est fait pour tenir avec notre squelette et pas avec tous nos muscles parce que cela consomme une énergie folle. Notre squelette existe pour nous déposer. Je crois qu’on est dans une société du muscle qui veut tenir, tordre, prendre et que nous sommes appelés vivre dans une civilisation du squelette. Laurent Lievens Des personnes auprès de qui j’ai senti que cela avait l’air très goûteux pour elles... Pour l’avoir vécu dans ma vie, de manière très concrète, il y a une vraie joie à s’alléger et à enlever les choses qu’on sent comme inutiles, comme trop lourdes pour récupérer autre chose. Il y a un vrai plaisir de s’aligner, d’aller chercher ce qu’il y a dans le fond des tripes. Les personnes qui m’ont touché dans leur pratique écolo ce sont des personnes qui n’ont jamais dit « regarde ce qu’il faut faire » C’est juste des personnes auprès de qui j’ai senti que cela avait l’air très goûteux pour elles de s’occuper... d’un potager de construire des objets en bois. Laurent Lievens …Même si elles ne les mettent pas toujours en œuvre, les traditions spirituelles portent toutes, dans leurs fondements, des principes et des valeurs – non-violence, sens du sacré, respect, fraternité, écoute intérieure, humilité, amour, compassion… –, qui sont autant de "clés" pouvant ouvrir des portes, faciliter l’émergence d’une nouvelle conscience et générer des solutions que nous-mêmes dans "le monde" avons bien du mal à voir s’incarner. Christine Kristof-Lardet, Sur la Terre comme au ciel, Labor et Fides |
Nous sommes quelques personnes désireuses de créer ensemble un lieu où nos différentes conceptions du sens à donner à nos vies et à la vie en société sont mises en dialogue avec les évangiles, les événements du monde, nos lectures, nos rencontres… dans un climat d'écoute et d'échange.
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année.
Nous nous adressons principalement aux jeunes adultes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX,
Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année.
Nous nous adressons principalement aux jeunes adultes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
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Contacts :
Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
[email protected]
Charles REUL
04/380.39.11
[email protected]
Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be
Pierre-Charles LIGOT
[email protected]
Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.
Voir le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
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Charles REUL
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Joëlle ROIDEAUX
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Le Houmier Rue du Houmier 84 4140 Florzé 04/344.48.81 [email protected] Coordonnées GPS de la maison : 50.489783, 5.663939 |