Les dimanches du Houmier 2021-2022Dimanche 20 mars 2022, 10h15-12h
L'invité : Pierre Damas "Quand un enfant n’a pas été meurtri dans son milieu familial, il reçoit naturellement le monde sur le mode de l’émerveillement. Chaque jour est une occasion de découverte, d’étonnement et d’intérêt. L’enfant qui arrive au monde et qui vit dans des conditions où il est aimé et mis en confiance ouvre des grands yeux face à tout ce qui se présente à lui. Tout l’intéresse, tout le passionne, tout le subjugue, tout est un événement." J’aime cette citation de Bertrand Vergely, mais hélas je garde peu de souvenirs de cette période de ma vie.
Pierre, que nous recevons ce dimanche 20 mars, a gardé en mémoire des événements clé qui ont nourri sa capacité de s’émerveiller. Et au début de notre rencontre quand nous lui demandons comment il se définit, il répond tout de go, « J’aime regarder tout, je suis un émerveillé permanent, depuis toujours. » Comment a-t-il pu communiquer cela à ses 5 enfants ? Cet émerveillement de l’enfance a fait place à celui de l’adulte. On peut s’émerveiller en dehors du merveilleux et découvrir des trésors derrière le vide ou la dureté de l’existence. Anesthésiste, responsable du service de soins intensifs au CHU, Pierre a pris à bras le corps le soin de personnes dont la vie et la mort étaient dépendantes de sa vigilance et de ses interventions. Retraité depuis trois ans, Pierre a remplacé ses gardes à l’hôpital par des nuits à Thermos, un lieu d’hébergement pour sans abris. Pierre est aussi passionné par le cosmos, émerveillé par les découvertes des lois qui le régissent et qui défient l’entendement. Tout reste à découvrir, à l’infini ! Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Le hasard ? Quand Jacqueline lui demande ce que cela suscite en lui comme sentiment, il répond : merci. J’ai envie de lui demander : merci qui ? Alain Reflets de la rencontre
Un chercheur sachant chercher cherche encore et toujours… Contemplatif, émerveillé permanent, scientifique, penseur, émotif, il est tout cela à la fois, Pierre, et pourtant quand j’écris ces mots à la suite les uns des autres, je m’aperçois que je n’ai encore rien dit de lui car ce qu’il est surtout, nous le pressentons dans ses silences, dans ses phrases inachevées… A 6 ans, lors d’un repas familial, les réponses des adultes sur l’existence de Dieu ne le satisfont pas. Il trouve que ces réponses ne tiennent pas la route. Il entend aussi qu’il faut penser par soi-même mais cela lui paraît impossible, on ne peut penser qu’avec les autres, ce qu’ils vivent, expliquent, racontent, énoncent et voilà Pierre parti sur les chemins des grandes questions qu’il arpente toujours aujourd’hui avec des flèches dans tous les sens et des « pourquoi » à n’en plus finir… A la fin de la rhéto, il voulait devenir ingénieur physicien puis s’imaginant enfermé dans un bureau, devant une table et des calculs, il s’est rétracté. Il veut non seulement savoir mais surtout comprendre et, nous dit-il, si le physicien sait que différents corps s’attirent, a-t-il pour autant compris quelque chose à ce fonctionnement ? Alors, il s’est plutôt vu avec un grand tablier blanc, au service des malades. Il s’est inscrit en médecine mais n’est pas devenu généraliste comme il le pensait. Il s’est orienté vers l’anesthésie, au service des Soins intensifs avant d’en devenir le chef. Dans le même esprit que le collectionneur de timbres se penche sur les détails entre deux timbres particuliers, Pierre s’émerveille devant tout ce qui existe et pour lui, l’émerveillement ne peut se traduire que par un mot : Dieu. Dans sa foi, la figure christique est centrale. Il en a fait une expérience tellement forte qu’aucun mot ne peut la refléter, il ne peut nous la signifier que par un moment d’intense émotion. Un jour, un de ses compagnons de classe lui avait dit qu’il avait une bombe en poche. Comme cet élève était un contestataire, une grande gueule, Pierre était loin d’être rassuré. Quel ne fut pas son étonnement en le voyant sortir un exemplaire de la Bible ! Et Pierre de renchérir que les évangiles remettent tout en question, chamboulent toute la manière de vivre si l’on veut suivre pas à pas le message d’amour du Christ. Je terminerai ces reflets par les paroles de Andrée Chedid, entendues au début de la rencontre car elles me semblent vivre au plus profond de Pierre. Rien n’y fait L’amour s’est implanté Une fois Pour toutes. De cet amour ardent je reste Émerveillée… Jacqueline S’émerveiller du quotidien
"Il ne suffit pas d'être en vie, il faut être vivant. C'est à dire savoir à chaque instant qu'on est au coeur d'un prodige et être en contact, en harmonie avec lui. C'est difficile, mais lorsqu'on parvient à en prendre conscience, on en reçoit un perpétuel émerveillement qui paie au centuple des efforts que l'on a consentis. Le plus souvent, nous voyons, mais nous ne regardons pas, nous entendons, mais nous n'écoutons pas. Les choses nous bousculent au lieu que nous portions la main sur elles. Nous devrions en disposer pour notre bonheur, et ce sont elles qui nous possèdent pour notre angoisse. Pourtant chacun de nous est au centre de tout, au milieu de l'univers entier. Chacun de nous possède les portes que le créateur (ou la nature, comme l'on voudra) lui a données pour y pénétrer. Mais nous oublions de les ouvrir. Pour ma part, je suis sans arrêt ébloui par le phénomène de la vie." René Barjavel "L’homme moderne aurait besoin de trouver une naïveté seconde : malgré notre tentation de tout organiser, tout planifier, tout maîtriser, garder cette capacité de s’étonner de ce qui advient sans qu’on l’attende, s’étonner de ce qui surgit dans notre histoire comme une grâce, un don inattendu." Paul Ricoeur Savoir s’émerveiller ne rend pas forcément plus heureux ? Pour qui considère le bonheur comme un confort, l’émerveillement est plutôt un dérangement. Raphaël Enthoven Promenade philosophique autour de l'émerveillement https://www.lareserve-mag.com/raphael-enthoven-3/ "Ne s'émerveiller de rien est beaucoup plus bête que s'émerveiller de tout." Fiodor Dostoïevski "Je m’applique à faire taire en moi les vieilles rumeurs qui continuent à s’y répandre pour ne pas perdre de l’ouïe les infimes résonances qui traversent le silence. C’est peut-être cela, tout ce qui reste à accomplir, apprendre à s’émerveiller de petits riens, à prêter l’oreille à des soupirs montés très discrètement de l’horizon, vagabonder à l’infini entre les quatre murs de sa chambre, se retrouver soi-même là où l’on ne s’attendait pas, autrement que l’on s’imaginait être. Sentir en soi bruire et frémir le temps qui passe, la vie à l’œuvre en sourdine dans notre sang, renouveler sa vision du monde et des autres, l’air de rien mais de fond en comble." Sylvie Germain "J'apprécie le mot merveille ainsi que ses dérivés. Je le répète souvent, cela signifie que je suis émerveillée de nature. Je n'ai pu grandir, aimer, haïr, croire et travailler qu'à travers les eaux de l'émerveillement. C'est un rude privilège qu'on m'a donné là. Je l'ai longtemps ignoré. .. Merveille est mon plus précieux joyau dont je me sers jour après jour non sans audace au vu et au su du monde entier sans craindre les voleurs. Si j'avais mis merveille au coffre, sans doute aurait-il perdu son éclat, petit à petit, avant de se dessécher." Dominique Rolin, Journal amoureux Quand on a perdu la faculté de s’émerveiller comment la retrouver ? Il peut ne pas être mauvais de perdre son émerveillement. Cela peut signifier le passage de l’enfance à l’âge adulte. L’émerveillement est un état d’esprit. Pour retrouver le sens de l’émerveillement quand on l’a perdu il n’y a qu’un seul moyen : cultiver son esprit en cultivant l’esprit. On y parvient par la culture sous les trois aspects de celle-ci : l’agriculture qui fait pousser quelque chose, la culture qui civilise et la religion qui nous emmène au-delà. Faire des choses utiles. Faire du bien. Aller dans la profondeur. On arrête de se sentir englué dans le quotidien maussade quand on le fait. On trouve et on retrouve le sens originel de l’émerveillement, ce qui sort de l’ordinaire et qui est pour cela remarquable. Bertrand Vergely, Propos recueillis par Paolina Jonquères D’oriola L’intense miracle d’être au monde
Interview de Bertrand Vergely par Hugues Simard Votre pensée personnelle s’oriente selon deux pôles, d’un côté la part obscure et douloureuse de l’existence, la mort, la souffrance, et de l’autre, l’éloge de la joie, le recours à l’émerveillement… Oui d’un côté, le désespoir, le silence de Dieu, qui semblent donner raison à tous ceux qui nient l’invisible, et par quoi j’ai commencé, pour ensuite aller vers l’inverse : le bonheur, la foi, l’émerveillement. Je vais à la fois là où le sens est contesté, et là où il est révélé. Ce que j’ai aimé, ce sont les gens lucides sur la réalité terrible de la condition humaine, mais qui n’en étaient pas pour autant désespérés, ayant dépassé et l’illusion et le désespoir, assumant pleinement la part tragique de l’existence, et trouvant dans l’homme des forces pour aller au-delà. Il y a quelque chose d’inouï dans l’existence, dans le simple fait de vivre, et dans les mille occasions de s’émerveiller. Ce qui est frappant en effet dans votre livre "Retour à l’émerveillement" est que vous n’y séparez jamais notre part d’ombre de la faculté de s’émerveiller… Pour moi l’émerveillement est lié à la gratitude. Il est en effet à mon sens lié à un engagement philosophique, à une résistance à l’ingratitude, aux fâcheux. Il faut aller au-delà de sa colère, transformer ses humeurs en humour, sa tristesse en étonnement. https://www.mondedesgrandesecoles.fr/bertrand-vergely-lintense-miracle-detre-monde/ On travaille à la joie en accueillant le réel tel qu’il est.
La joie est un oui à la vie ! Pour Clément Rosset [philosophe français, disparu en 2018], “la joie est paradoxale ou n’est pas”, car, en fait, on va tous mourir. On va être trahi, on va être déçu… Il dit aussi que pour nous rendre le monde acceptable, il nous arrive de créer un autre monde, son double. Ce qui serait intéressant c’est de ne pas avoir ce besoin, et de voir le monde tel qu’il est. Mais il faut pouvoir supporter de regarder le monde tel qu’il est, et pour le supporter, il y a cette joie, paradoxale. Clément Rosset combat l’illusion en disant : “Regardez la vie comme elle est dure. Mais cela n’empêche pas la joie”. Et, si la joie est possible alors que j’accepte que le monde est dur, alors cela veut dire que la joie est vraiment fondamentale. La joie est la force majeure, selon lui. La joie, ce n’est pas seulement quand tout va bien ? Ce qui me semble important, ce n’est pas de rechercher la joie pour la joie, c’est perdu d’avance, il faut lui donner de l’espace. S’y rendre attentif, car elle est un indicateur : elle dit ce qui importe pour soi. Et on travaille à la joie en accueillant le réel tel qu’il est. La joie est un oui à la vie ! Xavier Verougstraete https://www.lalibre.be/culture/arts/2021/01/18/svp-noubliez-pas-detre-en-joie-P7AS3LA3AJGSRO6QMGD3RBQ66Y/ Avons-nous passé plusieurs heures par jour
à nous émerveiller des autres hommes ? Jacques Decour*, en prison, dans l’attente de son exécution, écrit une lettre très touchante à sa famille. "Maintenant nous nous préparons à mourir les uns et les autres… On se prépare, on songe à ce qui doit venir, à ce qui doit nous tuer sans que nous puissions avoir un geste de défense… C’est bien le moment de nous souvenir de l’amour. Avons-nous assez aimé ? Avons-nous passé plusieurs heures par jour à nous émerveiller des autres hommes, à être heureux ensemble, à sentir le prix du contact, le poids et la valeur des mains, des yeux, des corps ? Savons-nous encore bien nous consacrer à la tendresse ? Il est temps, avant de disparaître dans le tremblement d’une terre sans espoir, d’être tout entier et définitivement amour, tendresse, amitié, parce qu’il n’y a pas autre chose. Il faut jurer de ne plus songer qu’à aimer, aimer, ouvrir l’âme et les mains, regarder avec le meilleur de nos yeux, serrer ce qu’on aime contre soi, marcher sans angoisse en rayonnant de tendresse." Marie de Hennezel : "Remettre la mort à la juste place dans nos vies" Le Figaro.fr étudiant. https://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/marie-de-hennezel-remettre-la-mort-a-la-juste-place-dans-nos-vie-3284/ * Jacques Decour : un jeune romancier de trente deux ans, fondateur avec Jacques Paulhan des lettres françaises en 1942, engagé dans la résistance intellectuelle, et fusillé par les nazis au Mont-Valérien Une proposition inouïe d’un amour gratuit
Des penseurs (anthropologues, scientifiques, philosophes et théologiens) cherchent à comprendre pourquoi, comment, par quel phénomène, à un moment précis de l’histoire humaine correspondant à celui de la présence de Jésus de Nazareth dans notre monde, a pu apparaître de cette façon, totalement nouvelle, impensable, "insensée", parce que presque "sur-humaine", de concevoir les relations entre les humains. Il s’agit, en effet, de relations exclusivement enracinées dans la proposition inouïe d’un amour gratuit, inconditionnel et total qui se situe à l’extrême opposé des relations humaines « normales » dictées par la lutte pour la survie, la peur, la violence, la recherche du pouvoir, l’oppression et l’exploitation des plus faibles de la part des plus forts. De sorte que ces penseurs sont d’avis que nous nous trouvons ici face à ce qu’ils appellent un virement évolutif dans la qualité des rapports humains ou, mieux, face à une nouvelle émergence cosmique qui marque le début de nouvelles possibilités et qui est à l’origine d’une nouvelle forme ou d’une nouvelle manière humaine d’exister sur notre Planète et qui aurait pris corps et se serait manifestée avec une évidence et une intensité uniques dans la personne de Jésus de Nazareth. Bruno Mori http://brunomori39.blogspot.com/2022/ |
Albert Einstein
Quelques citations Ce qui est incompréhensible, c’est que le monde soit compréhensible. L’esprit humain n’est pas capable de comprendre l’Univers. Nous sommes comme un petit enfant entrant dans une énorme bibliothèque. Les murs sont couverts jusqu’aux plafonds de livres dans diverses langues. L’enfant sait que quelqu’un doit avoir écrit ces livres. Il ne sait pas qui ni comment. Il ne comprend pas la langue dans laquelle ils sont écrits. Mais l’enfant remarque un plan précis dans la disposition des livres. Un Ordre Mystérieux qu’il ne comprend pas, mais qu’il soupçonne seulement vaguement. L’idée que l’ordre et la précision de l’univers, dans ses aspects innombrables, seraient le résultat d’un hasard aveugle est aussi peu crédible que si, après l’explosion d’une imprimerie, tous les caractères retombaient par terre dans l’ordre d’un dictionnaire. La joie de contempler et de comprendre, voilà le langage que me porte la nature. Enigme de science :
Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Rendre raison des choses. Expliquer pourquoi elles sont ainsi et pas autrement. Telle est la quête permanente des scientifiques lorsqu'ils embrassent le monde. Trouver la raison, la raison à cette raison... et ainsi de suite, aussi loin que le raisonnement puisse porter. Jusqu'à buter inévitablement contre l'ultime interrogation, formulée au début du XVIIIe siècle par le philosophe et mathématicien Gottfried Wihelm Von Leibniz: "Pourquoi ya-t-il quelque chose plutôt que rien ? Bien sûr, philosophes et théologiens ont leur idée sur la question. https://www.science-et-vie.com/archives/1.-pourquoi-y-a-t-il-quelque-chose-plutot-que-rien-45306 article issu du n°1091 de Science & Vie, page 46 Dans les médias, on continue à parler du Big Bang comme de l'instant zéro mais les progrès de la science obligent à revoir ce discours. Si vous tentez de décrire l'origine de l'univers, à chaque fois que vous le faites, la phrase que vous dites contredit l'idée que l'univers a une origine. Soit cette chose a toujours été là. Et il n’y a pas eu de début. Soit elle n'a pas toujours été là et elle est la conséquence d'une autre chose, qui l'a précédée. Mon métier, c'est de rendre les gens fous. Car à chaque fois qu'ils sont trop sûrs d'eux, je leur montre qu'il y a un petit paradoxe caché. Etienne Klein De cet amour ardent
je reste émerveillée Je reste émerveillée Du clapotis de l’eau Des oiseaux gazouilleurs Ces bonheurs de la terre Je reste émerveillée D’un amour Invincible Toujours présent Je reste émerveillée De cet amour Ardent Qui ne craint Ni le torrent du temps Ni l’hécatombe Des jours accumulés Dans mon miroir Défraîchi Je me souris encore Je reste émerveillée Rien n’y fait L’amour s’est implanté Une fois Pour toutes. De cet amour ardent je reste émerveillée. Andrée Chedid, Printemps des poètes, 2007 Cliquez sur ce lien pour écouter ce poème d'Andrée Chedid lu par Jérôme Boloch Je Reste Emerveillé par Peio Je reste émerveillé de ses sommets enneigés Je reste émerveillé de ton amour infini Des sourires de nos enfants Je reste émerveillé De la nuit et du temps Je reste émerveilles de ces paysages subtils Je reste émerveillé de la patine du temps De la sagesse de nos anciens Je reste émerveillé de la caresse du vent Ce que je sens ce que je suis Ce que nous sommes mille fois en vie Je reste émerveillé de la force de la vie Je reste émerveillé de ce souffle qui suffi De l’amour qui résonne Je reste émerveillé de la force et la foi Je reste émerveillé de la pluie et du vent Je reste émerveillé de ces moments fragiles Suspendu par le temps Je reste émerveillé Perdu sur mon île Ce que je sens ce que je suis Ce que nous sommes mille fois en vie Dans le silence Je m’abandonne Happé par le temps Dieu me pardonne Je reste émerveillé Je reste émerveillé |
Nous sommes quelques personnes désireuses de créer ensemble un lieu où nos différentes conceptions du sens à donner à nos vies et à la vie en société sont mises en dialogue avec les évangiles, les événements du monde, nos lectures, nos rencontres… dans un climat d'écoute et d'échange.
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année.
Nous nous adressons principalement aux jeunes adultes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX,
Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année.
Nous nous adressons principalement aux jeunes adultes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX,
Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT
Contacts :
Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
[email protected]
Charles REUL
04/380.39.11
[email protected]
Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be
Pierre-Charles LIGOT
[email protected]
Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.
Voir le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
[email protected]
Charles REUL
04/380.39.11
[email protected]
Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be
Pierre-Charles LIGOT
[email protected]
Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.
Voir le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
Adresse du jour
Le Houmier Rue du Houmier 84 4140 Florzé 04/344.48.81 [email protected] Coordonnées GPS de la maison : 50.489783, 5.663939 |