Passion avec Dominique Fagard
Il y a mille façons de faire de la musique Pourquoi la voix ? Je suis chanteuse, certes, mais surtout chef de chœur. Pourquoi chef de chœur ? Je préfère le terme chœur à chorale. Pourquoi ? Je suis chef de chœur... d'une façon un peu particulière, d'une façon qui m'est propre (évidemment). Pourquoi cette manière? J'ai beaucoup travaillé avec les enfants, mais ce n'était pas mon choix premier. J'ai oscillé entre les enfants, les adultes, les tout-petits, et ça a un sens bien évidemment, ça a formé un tout. Le public : j'ai travaillé le chœur et la polyphonie avec des enfants, avec des adultes, avec des personnes exclues, avec des personnes ne sachant ni lire ni écrire, avec des personnes en grande souffrance, marginalisées, avec des migrants qui ne parlaient parfois pas un mot de français. Le répertoire : pourquoi particulièrement les polyphonies du monde ? Là je dois faire un tri sévère dans mes activités. Je vais garder mon travail de chef de chœur avec les adultes. Il me nourrit plus encore que je ne le nourris sans doute. Organiser la "passation", la transmission... je commence à trouver comment et sans doute du coup à qui, et c'est une libération... En réfléchissant à toutes ces questions, dont j'ai généralement trouvé la réponse puisque ces choix là ont façonné ma carrière, je me dis que j'ai des choses à partager spécifiquement. Dominique Fagard De cœur à oreille
"De tous temps, le chant des hommes raconte leurs amours, leurs espoirs, leurs peurs, la joie des naissances, le travail, la mort, les récoltes, les conflits, la liberté… la vie… Si l’on connaît le chant de l’autre, on n’a plus peur, on s’apprivoise, on se découvre, on s’estime, on apprend à vivre ensemble. Aujourd’hui, plus que jamais, c’est un chemin à entreprendre ensemble ! " La personne qui a écrit cela, c’est Dominique Fagard, notre invitée du prochain dimanche du Houmier. Maman de trois enfants et assistante sociale de formation, Dominique est aujourd’hui chanteuse et musicienne. Lors de son engagement comme permanente à ATD Quart Monde (Agir Tous pour la Dignité), on lui confia la responsabilité d’un projet de musique dans la rue avec les enfants de quartiers défavorisés à Nancy. Que pouvait-elle partager le mieux sinon la musique. Et l’instrument de musique qu’elle pouvait avoir toujours avec elle, c’est… la voix. Le virus de la musique ne l’a jamais quittée. De retour en Belgique, tout en suivant de nombreuses formations, Dominique a mis ses talents au service d’enfants, de jeunes ou d’adultes de toutes origines. En 2013 elle crée et dirige l’ensemble vocal "Temenka", trois voix de Femmes se mêlent a cappella dans des polyphonies de toutes cultures pour vibrer au diapason du monde et en 2018, le chœur "Infinitu"… N’hésitez pas à cliquer sur Temenka pour écouter les chants du CD Ya Hello, http://www.temenka.be/#/music et plonger dans le site https://decoeuraoreille.wordpress.com/, vous comprendrez qu’il y a de quoi nourrir au moins deux rencontres du Houmier. Alain Reflets de la rencontre Dominique, une femme de communion Le meilleur reflet de cette rencontre dominicale, je voudrais que vous l’écoutiez ! C’est le duo formé par Dominique et Christiane, son amie, qui, à la fin du partage, entonnent a cappella un chant ukrainien. Leurs voix nous plongent dans un autre monde, leurs voix viennent du cœur, elles s’unissent en profondeur, vibrent en nous. L’émotion, l’émerveillement, l’envie de communion, s’insèrent au plus intime de nous-mêmes, nous sommes emportés plus loin, là où peut-être n’existeraient plus la haine, la guerre, les injustices sociales… Dominique nous a montré l’importance des mots mais elle nous a surtout montré combien il est essentiel de les écouter, de ne pas les trahir, de les dire tels que la personne en face de nous les a prononcés, pour montrer vraiment ce qu’elle vit sinon ce ne serait que des mots creux ou superficiels ou convenus. Depuis l’adolescence, Dominique est sensible aux injustices sociales et se révolte contre elles. Un jour, elle entend une conférence donnée par le Père Joseph Wresinski, le fondateur du mouvement ATD Quart Monde, "un mouvement qui rassemble des personnes de tous horizons pour réfléchir, agir et vivre ensemble différemment. La violence de l’extrême pauvreté, l’ignorance, le dénuement et le mépris isolent les personnes et les enferment dans le silence jusqu’à les faire parfois douter de leur appartenance à la communauté humaine. Unir les forces pour atteindre ceux qui sont exclus dans nos sociétés et reconnaître la contribution indispensable des personnes vivant dans la pauvreté sont des étapes essentielles pour mettre fin à la misère et bâtir la paix." Elle comprend que sa place est là, dans ce volontariat, dans le communautaire et le partage. Elle devient assistante sociale puis, avec son mari et leur bébé de quelques mois, elle part à Paris où se trouve le siège international de ATD. Ils y travaillent tous les deux, dans des branches différentes, vivent en communauté, apprennent ce que c’est que de vraiment vivre ensemble et de partager, que ce soit le salaire, les problèmes, les vécus. Dominique a en elle un outil qui lui permet de gagner les cœurs et de déplacer les frontières : sa voix. Grâce à elle, à la demande du Père Joseph, elle ira dans les rues de Nancy au devant des enfants, des familles défavorisées. Aujourd’hui, elle est chanteuse et cheffe de chœur de deux ensembles qui vous emmènent a cappella dans des polyphonies de toutes cultures : Infinitù, un choeur dynamique d'une quinzaine de chanteurs, et Temenka, trio où trois voix de femmes se mêlent dans une alchimie sensible et dynamique entre corps et voix. Dominique organise aussi des stages où les participants ressentent que chanter, c’est être debout, être vivant ! Ce ne sont pas seulement les rencontres de figures emblématiques comme le père Joseph Wresinski, Yehudi Menuhin ou le frère Roger de Taizé qui ont fait de Dominique, comme lui a dit ce dernier, une femme de communion, mais toutes celles et ceux, modestes, précarisés, paumés, qui ont fait un bout de chemin avec elle. Le partage du pain et du vin fut introduit par une plage musicale, Tchongouro, un chant géorgien qui dit que nous sommes appelés à être unis comme les cordes du tchongouri. Y ont été associés, les visages de tous ceux et celles que nous avons rencontrés et qui ont été pour nous des passeurs d’humanité. Si je devais retenir un mot de cette rencontre ce serait : ensemble. Ensemble pour vivre ce que certains vivent, dont on ne soupçonne même pas le dixième… Ensemble pour partager les douleurs, les dangers, les cruautés et donner un peu de joie… Ensemble pour unir nos voix dans toutes les langues et entonner un refrain universel pour un monde meilleur. Merci, Dominique. Nous te retrouverons le 10 décembre pour aborder plus profondément le thème de la musique et du chant. Jacqueline S'il existe un échec de l'humanité, plus profond que tous les autres, je crois que c'est celui-là : de ne pas savoir discerner, dans le pauvre, ce qui est réellement l'homme, et de l'approcher au niveau de son avoir ou de ses manques, au lieu de l'approcher au niveau de son être.
Père Joseph Wresinski, Écrits et paroles, Ed. Saint Paul - Quart Monde, 1992 p. 574 La culture est création, rencontre des Hommes, produit des échanges entre les Hommes. Elle est plongée dans l’histoire des Hommes, elle est l’histoire même de tous les Hommes pétris, forgés ensemble. Elle est la négation même de la fatalité de l’exclusion. Joseph Wresinski Choeur des cloches
C'est un travail vocal auprès des résidents du foyer Notre-Dame des Sans-abris... C'est un projet que j'ai imaginé il y a longtemps, lorsque je vivais encore en Belgique. Je rêvais de monter le "Chœur des cloches", un ensemble qui réunirait des clochards, des personnes qui ont vécu longtemps dehors. J'ai commencé à rencontrer quelques-uns d'entre eux, boire un café avec eux. Ils se réunissent autour de l'église en été. Je suis en train de constituer un groupe de chanteurs parmi la population du FNDSA à Lyon 7e. À travers l'apprentissage de chants du monde et des techniques vocales appropriées, chacun peut retrouver une part de confiance en lui-même, et redécouvrir la relation à soi et à l'autre au travers d'un travail vocal conduit dans son aspect artistique et humain. A ma connaissance, ce type de projet, dont l'issue des ateliers est d'amener le « Chœur des cloches » à donner de véritables concerts dans la rue, n'a jamais été réalisé, et je me sens sincèrement motivé pour mener au mieux cette tentative. Le fait de chanter, ou de savoir à l'avance que l'on se prépare à chanter pour quelqu'un, un public, mobilise en nous une énergie créatrice, donc valorisante. Borys Cholewka "Accoucheur" de voix
Mon métier, c'est chef de chœur et "accoucheur" de voix. Dans une première tranche de ma vie, de 1979 à 1988, j'étais dans une quête éperdue du beau... L'image qui me vient, c'est celle d'un escalier où, très vite, j'arrivais à monter jusqu'à la marche neuf, mais avec l'impossibilité d'atteindre la marche dix : comme un but impossible à atteindre. Quand tu es dans une quête du beau pour le beau, tu vis des états où tu approches de quelque chose: c'est tout près, mais la connexion ne se fait jamais. C'était une grande angoisse pour moi. Il y avait quelque chose en moi qui ne pouvait pas goûter ce qui était chanté. Mais, par contre, j'ai tout de suite remarqué que les gens allaient mieux en chantant : ils se sentaient mieux dans leur corps, arrivaient au bout d'un moment à s'habiller autrement, osaient mettre des couleurs alors qu'avant ils s'habillaient "triste", avec des couleurs ternes. Certaines femmes assumaient davantage leur féminité. Enfin, plein de signes comme ça. Je me suis rendu compte qu'il se jouait là quelque chose d'essentiel. Et, à ce moment, j'ai commencé un travail sur moi. C'est au milieu de cette démarche que j'ai rencontré le père Joseph Wresinski, qui m'a fait réfléchir sur l'art et sur les plus pauvres. Pour moi, le père Joseph Wresinski était fondamentalement un artiste, parce qu'il avait une faim et une soif d'art infinies : il voulait en manger. Il avait faim de cela, et c'est cela être artiste. Il fait partie des hommes qui comptent beaucoup dans ma vie parce qu'ils font partie des maîtres, c'est-à-dire des gens qui vont au bout d'eux-mêmes et de la vérité de leur histoire. Dans un premier temps de ma vie, j'aurais aimé être comme eux... et puis à un moment, j'ai compris que c'était à moi de trouver dans ma vie cette qualité-là, avec les éléments de ma propre vie ! Jean-Paul Baget La musique a quelque chose d’irrésistible
Je crois que la musique est le meilleur moyen permettant d’arriver à comprendre les autres peuples précisément parce que l’on n’est pas induit en erreur par des mots ou symboles souvent trompeurs, qui ont déjà acquis tant de sens différents. J’ai vu par exemple des auditoires américains secoués d’enthousiasme au rythme des tambours indiens, ce qui a plus fait pour l’établissement de contacts entre les spectateurs que tous les mots que l’on aurait pu dire ou les livres que l’on aurait pu distribuer et dont on n’est jamais sûr qu’ils seront lus. La musique a quelque chose d’irrésistible. Yehudi Menuhin Anaïs Fléchet, « Yehudi Menuhin à l’Unesco, la musique pour ambassade », La musique et l'ineffable
La musique est un charme : faite de rien, tenant à rien, peut-être même n'est-elle rien, du moins pour celui qui s'attend à trouver quelque chose ou à palper une chose ; comme une bulle de savon brisée qui tremble et brille quelques secondes au soleil, elle crève dès qu'on la touche. Elle n'existe que dans la très douteuse et fugitive exaltation d'une minute opportune... Le charme de la musique nous est précieux comme nous sont précieux l'enfance, l'innocence ou les êtres chers voués à la mort; le charme est labile et fragile, et le pressentiment de sa caducité enveloppe d'une poétique mélancolie l'état de grâce qu'il suscite.. Vladimir Jankelevitch, La musique et l'ineffable, p.149 Un appel à la transcendance, mémoire et aspirations communes
Au festival des musiques sacrées du monde, à Fès, vous êtes emportés dans un autre monde, où vous sont offertes la paix et la santé de tout l’être. Celles dont tous les peuples rêvent. Ils l’attendent ! Les musiques peuvent abattre les murs les plus tenaces de la peur, de la haine et de l’angoisse. Musiques du monde, hébraïque et chrétienne, arabo-andalouse, indienne, arabe du Maghreb et d’Iran, d’Afghanistan et du Kazakhstan, du Pakistan mais aussi de Chine, musique grégorienne et latino, euro-méditerranéenne, euro-sud-africaine et Sénégalaise sont le plus court chemin pour relier les cœurs. Un enchantement ! La musique révèle le monde. De par sa dimension spirituelle et universelle, elle est un appel à la transcendance, mémoire et aspirations communes au bien-être auquel chacun aspire. https://www.professeur-joyeux.com/2014/08/12/art-et-spiritualite-au-service-de-la-sante/ Il me semble que l’art peut être un facteur privilégié pour expérimenter le spirituel dans le sens où le spirituel touche à l’altérité ou pour le dire plus simplement à ce qui déplace, ouvre une brèche.
Agnès Bressolette https://resspir.org/interviews/art-spiritualite-i/ L’art véritable recèle en lui une "force prophétique d’éveil". Il participerait ainsi de la vie spirituelle orientée vers la connaissance. L’artiste serait "le voyant", lequel, grâce à la force mystérieuse implantée en lui, tire "en avant et vers les hauteurs le lourd et inerte chariot de l’humanité entravé par les pierres." Vassily Kandinsky Dans son livre Du spirituel dans l’art et dans la peinture en particulier, Kandinsky déclare que l’œuvre d’art doit servir le développement et l’affinement de l’âme humaine, car l’art est le pain quotidien de l’âme. Que la parole de Christ habite en vous dans toute sa richesse ! Instruisez-vous et avertissez-vous les uns les autres en toute sagesse par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantez pour le Seigneur de tout votre cœur sous l'inspiration de la grâce. Lettre de Saint Paul aux Colossiens 3:16 |
Temenka
« Rencontres » Temenka veut dire : "Avec vous", "Avec nous", "Ensemble" en manouche et en romani, qui sont deux langues tziganes. De tous temps, le chant des hommes raconte leurs amours, leurs espoirs, leurs peurs, la joie des naissances, le travail, la mort, les récoltes, les conflits, la liberté… la vie quoi !… Si l’on connait le chant de l’autre, on n’a plus peur, on s’apprivoise, on se découvre, on s’estime, on apprend à vivre ensemble. Aujourd’hui, plus que jamais, c’est un chemin à entreprendre ensemble. Temenka ! Trois voix de Femmes se mêlent a cappella dans des polyphonies de toutes cultures pour vibrer au diapason du monde. Dans une alchimie sensible et dynamique entre corps et voix, elles vous invitent au voyage, à la rencontre des hommes et des femmes de partout. Avec Marina Boulangé, Eléonore Maisse, et Dominique Fagard. Des chants qui parlent de la rencontre, partager des points commun d’humanité http://www.temenka.be/#/music "Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l'homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré." Joseph Wresinski ATD Quart Monde Une orientation, 4 priorités : Construire à partir des plus pauvres un monde juste et durable qui ne laisse personne de côté. Concrétiser l’engagement "Ne laisser personne de côté". "Ne laisser personne de côté", c’est rejoindre les plus isolés pour bâtir des relations de proximité, c’est inviter de nouvelles personnes à s’engager contre la misère, c’est intensifier le dialogue avec les associations, réseaux et institutions et se mobiliser ensemble pour changer les pratiques et promouvoir l’accès de tous aux droits humains afin d’éradiquer la misère. Priorité 1 – Construire avec l’intelligence de tous, les savoirs indispensables pour relever les défis du monde. Priorité 2 – Agir pour une éducation qui libère les potentiels de chacun. Priorité 3 – Promouvoir une société respectueuse des personnes et de la Terre, condition pour la paixPriorité 4 – Construire un mouvement militant qui suscite des engagements dans la durée. Le contraire de la misère ce n'est pas la richesse. Le contraire de la misère, c'est le partage. Abbé Pierre, discours au Palais des Congrès de Paris, 23 novembre 1984. “Ceux qui ont pris tout le plat dans leur assiette, laissant les assiettes des autres vides, et qui, ayant tout, disent avec une bonne figure, une bonne conscience : ‘Nous qui avons tout, on est pour la paix !’ Je sais ce que je dois leur crier à ceux-là : Les premiers violents, les provocateurs de toute violence, c’est vous ! Et quand le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits enfants, avec votre bonne conscience, au regard de Dieu, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d’inconscients, que n’en aura jamais le désespéré qui a pris les armes pour essayer de sortir de son désespoir.” Abbé Pierre, discours au Palais des Congrès de Paris, 23 novembre 1984”. "Le partage de l’humanité ne se fait pas entre les croyants et les non-croyants, il se fait entre les idolâtres de soi et les communiants." Abbé Pierre L'art est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art.
Robert Filliou La musique met l’âme en harmonie avec tout ce qui existe Oscar Wilde La musique est un tout “La musique est infiniment plus grande et plus riche que ce que notre société veut qu’elle soit : elle n’est pas seulement belle, émouvante, envoûtante, réconfortante ou passionnée, même si, à l’occasion, elle peut être tout cela. La musique est une partie essentielle de la dimension physique de l’esprit humain.” Daniel Barenboïm L'artiste montre aux yeux de tous une part d'invisible qu'il a perçue, que les autres n'ont pas encore vue. Yvette Grosset Pour moi, on est dans l'art comme on est dans sa vie quotidienne : est-ce que tu es présent dans les choses de ta vie ? Si tu n'es pas là dans les actes de la vie ordinaire, comment veux-tu être là quand tu chantes, quand tu peins ? Jean Paul Baget Chanter n'est pas seulement se servir de sa voix et de son corps, mais aussi interpréter, faire partager au public les émotions contenues dans le texte chanté : c'est en cela qu'en fonction des genres musicaux sollicités, le chant rejoint fréquemment l'art de la scène. https://fr.wikipedia.org/wiki/Chant Quelle est la différence entre parler et chanter ? Chanter est une action spontanément associée à une intuition très positive. En effet, elle reflète la nécessité vitale d'exprimer une émotion et surtout d'utiliser la puissance d'expression de notre voix à cet effet. Chanter c'est se sentir vivant ! Parler, chanter c'est avant tout s'exprimer, exprimer une émotion. https://www.comundi.fr/mag-des-competences/on-chante-comme-on-parle/ La beau intérieur Le beau intérieur doit renoncer au beau conventionnel. A celui qui n'y est pas habitué, ce beau intérieur paraîtra évidemment laid, car l'homme tend en général vers l'extérieur et ne reconnaît pas volontiers la nécessité intérieure. https://www.weebly.com/editor/main.php#/ La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à ceux qui sont sans repos, elle console ceux qui pleurent » Pablo Casals |
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Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
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04/380.39.11
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Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be
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Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.
Voir le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
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Nous sommes quelques personnes désireuses de créer ensemble un lieu où nos différentes conceptions du sens à donner à nos vies et à la vie en société sont mises en dialogue avec les évangiles, les événements du monde, nos lectures, nos rencontres… dans un climat d'écoute et d'échange.
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année.
Nous nous adressons principalement aux jeunes adultes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX,
Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT
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