Vivre avec passion
Qu'est-ce qui vous passionne ? Qu'est-ce qui vous concerne profondément ? Au menu
Prochaine rencontre :
le 25 février 2024 avec Josiane Bruyère Clown-thérapeute Nous avons sans doute encore tous le souvenir des moments merveilleux vécus lorsqu’après le spectacle angoissant des trapézistes, ont surgi deux clowns au centre de la piste. Lors de la rencontre, nous n’irons pas au cirque mais nous rencontrerons tout de même un clown. Josiane Bruyère, notre invitée, n’animera pas un spectacle, elle ne cherchera pas à nous amuser et nous distraire… elle témoignera de ce qu’elle vit en tant que clown-thérapeute.
Avec une comparse, elle entre dans les chambres des hôpitaux avec un nez rouge et d’autres attributs du clown pour vivre un art de l’empathie et de la communication avec des personnes dont les possibilités à s’exprimer par des mots sont altérées, modifiées, perturbées en raison de l’âge, de la maladie, du handicap… Elles vont accueillir, dans le moment présent, toute la palette des émotions possibles du résident : joie, pleurs, rire, colère... et favoriser des émotions positives : joie, émerveillement, bien-être qui les ouvrent à des comportements heureux et apaisés. Vous l’aurez compris, c’est ce qui est au plus profond de l’humain que Josiane fera surgir en nous par son témoignage. Je me réjouis de vivre avec vous cette rencontre. Alain Dates suivantes : 24 mars - 14 avril - 25 mai Il ne s’agit pas d’apprendre à "faire le clown",
mais à le laisser apparaître et nous révéler. Il ne s'agit pas d'apprendre à "faire le clown", mais simplement d'accepter d'être "fait clowns". "Car nous sommes tous clowns, mais uniquement par le regard de l'autre; nous n'avons rien à faire, mais seulement à consentir à ce regard et à ce qui nous arrive. Je ne suis pas à l'origine de ce que je fais, le point de départ, c'est l'autre.
Philippe Rousseau Notre approche du soin est centrée sur la personne, et non sur la maladie. Les personnes dites "démentes" ou en fin de vie, ont des besoins affectifs et relationnels au même titre que les personnes dites "bien portantes", malgré leur impossibilité de communiquer par les mots ; elles auraient bénéfice à ce que leurs comportements troublés soient compris non comme des facteurs perturbants à calmer, mais comme des appels à exister. https://www.opiclown.com/demarche La vie "circule" !
Quand nous entrons dans un salon où la TV ronronne, où les résidents sont apathiques, coupés les uns des autres, retirés parfois dans leur état de survie, l’effet est immédiat : la vie "circule" ! Certaines personnes se réaniment : des yeux pétillent d’émerveillement, des corps se remettent à bouger, des mains s’ouvrent, des accolades sont échangées. Elles s’accrochent alors aux clowns comme si elles se raccrochaient à la vie. Certaines ont "envie" de chanter, de danser. Nous sommes là dans des soins relationnels vivifiants. Les soignants eux aussi "découvrent" leurs résidents "autrement" et s’étonnent de voir une personne mutique se remettre à bredouiller, à parler, à communiquer, à remarcher, à accepter un soin de toilette. Une personne psychiquement (très) dépendante se sentant accueillie, reçue, et écoutée dans sa dignité d’être humain s’ouvre à l’autre. https://www.alternatives-non-violentes.org/Revue/Numeros/162_Bien_vieillir_c_est_possible/Le_clown_relationnel_en_maison_de_retraite En face de l'ascenseur Rencontre d’une résidente postée à un endroit stratégique : en face de l’ascenseur : lieu de rencontres, de passages. Quatre clowns relationnels sortent de l’ascenseur et surprennent Madame V. Cette dernière, très agacée, nous menace de sa canne : « Foutez le camp ! » J’ose m’aventurer à distance dans cette relation. Notre état de jeu prend le dessus, et, en empathie corporelle dans la communication non verbale, dans le pas à pas de la rencontre, je commence à jouer ce qui la joue. Tendant mon bras j’entre dans un geste de menace enjouée ; elle s’étonne puis doucement entre dans le jeu et nous voilà complices. Elle sourit, ce qui me permet de m’engager plus loin et de m’approcher d’elle. Apres cet apprivoisement, Madame V pose sa canne et m’invite à m’asseoir à côté́ d’elle. Quel bon moment d’échange après un début de rencontre a priori pas facile ! N’appelait-elle pas la rencontre à l’aide de sa canne ? https://www.alternatives-non-violentes.org/Revue/Numeros/162_Bien_vieillir_c_est_possible/Le_clown_relationnel_en_maison_de_retraite Un défi de chaque instant Pour le clown, intervenir à l’hôpital, lieu de contraintes s’il en est, est un défi de chaque instant : c’est un travail d’équilibriste sur le fil de la transgression qui interroge le milieu hospitalier. Son ambition est de permettre à l’enfant malade qui subit un traitement, de retrouver son pouvoir d’acteur et de créateur de jeux, et par là, la part de lui-même qui peut agir pour guérir. Pour le personnel hospitalier et les parents, la présence des clowns apporte aussi une bouffée d’humour et d’oxygène, et une fenêtre sur la fantaisie dans le monde de l’hôpital. La présence des clowns est une source de renouvellement et de dynamisation des relations entre personnel hospitalier, patients et familles. Un chef de service dansant avec un balai dans un couloir n’est pas une scène quotidienne à l’hôpital. Mais le clown rend ce moment possible en s’adressant aux personnes au-delà de leurs fonctions. Un pied à perfusion devient cheval de cirque, un lit électrique un tapis volant, le public s’envole dans un monde imaginaire à partir de la réalité quotidienne de l’hôpital. ASBL Les clowns de Soleil rouge Le clown est dans le "oui". Il prend la vie comme elle vient. Il aime la liberté, il ne connait pas l’autocensure et parle de tous les tabous, il ose l’autodérision et éveille les consciences. Au travers d’une exploration autour de notre être sensible, chacun-e sera invité-e à une rencontre autour de l’authenticité́, la vulnérabilité́, la force et la fragilité́. Chacun-e sera accueilli-e dans ses différences avec bienveillance.
https://csilapairelle.be/activites/a-la-rencontre-de-moi-du-divin-du-clown/ Le clown, ce personnage à l’apparence si dérisoire est présent à lui-même, à l’autre, ici et maintenant. C’est par son authenticité que le clown touche, interpelle. Par son côté joueur, il parvient à transformer ses fragilités en force. Il est le miroir de notre propre vulnérabilité. Dans un monde imprégné par la réussite et l’apparence, le clown vient bousculer nos repères pour ouvrir de nouvelles perspectives ! https://www.cathobel.be/2022/05/opinion-pourquoi-chaque-chretien-devrait-faire-le-clown/ Les clowns sont des livres de chair. On dit en Afrique qu’un vieux qui meurt c’est une bibliothèque qui disparaît. Je pense qu’un clown qui apparaît, c’est un poème qui nous est donné, et qu’un clown qui disparaît c’est un poème que l’on ne pourra plus lire. François Cervantes Extrait de "Le clown Arletti, vingt ans de ravissement", François Cervantes et Catherine Germain co-édition Magellan &Cie / Editions Maison Aimer c’est, comme le clown, d’abord recevoir,
et non pas d’abord donner Qu’est-ce qu’être croyant, alors, sinon découvrir qu’aimer c’est d’abord recevoir, et non pas d’abord donner ? On ne peut donner que ce qu’on reçoit. Que peut-on donner que l’on n’ait déjà reçu ? Le clown est exactement dans cette dimension. L’autre est une perle précieuse, rare, un trésor unique. Pour le clown, l’autre est sa source. Pour jouer sur la scène, il va s’appuyer sur ce que l’autre va lui donner. Il reçoit littéralement tout de l’autre. Et il donne tout car, lui, sait bien que tout ce qui n’est pas donné est perdu, selon une maxime indienne. Et l’espace qui va lui permettre de grandir sera le jeu. Le clown est celui qui a retrouvé son "âme d’enfant", son innocence, sa liberté de jouer, de rire, de dire ce qu’il a envie de dire. Être clown, c’est reconquérir ce petit enfant libre qui est en nous et le mettre en scène pour le bonheur du public. « Si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. » (Mt 18,3) https://www.evangile-et-liberte.net/2016/03/le-clown-et-la-foi/#:~:text=On%20peut%20noter%20la%20m%C3%AAme,que%20ce%20qu'on%20re%C3%A7oit. Porteur d'un mystère
Le clown est porteur d’un mystère qui est aussi profond que le mystère de notre existence. Nous présentons aux spectateurs une figure, un caractère, un personnage, un être humain enfin, porteur en lui, à la fois, de l’enfance et de l’âge adulte ou de la vieillesse, de la plus grande innocence et de la plus belle sagesse, qui montre dans ses ratages quelque chose de l’incapacité de l’homme à saisir la vie, en même temps qu’il est traversé de surgissements sublimes qui nous dépassent. Et toute cette concentration d’existences constitue pour moi le clown, qui nous fait rire et pleurer parce qu’il nous parle à la fois de notre naissance et de notre fin, des petites choses de rien qu’il a du mal à manipuler en même temps que de l’univers entier, avec un théâtre simple. Philippe Goudard, Sens dessous, Le désordre https://www.cairn.info/revue-sens-dessous-2013-1-page-129.htm "Le clown rassemble toute la condition humaine. Il est chacun d’entre nous.
Le clown rejoint l’homme même dans la souffrance, dans toute sa misère. Toutes les misères qui lui arrivent, ce sont nos propres misères. Il nous rejoint donc dans nos pauvretés, comme le Christ, au cours de sa Passion (et même tout au long de son ministère, c’est le propre de l’incarnation, en fait). Il y a une similitude entre la figure du Christ et celle du clown. Le christ nous appelle à être heureux, selon les Béatitudes (Mt 5,1-12), mais on ne peut être véritablement heureux que lorsqu’on accepte ses pauvretés." http://clownparfoi.cabanova.com/objectifs-et-contenus. html Jésus est un clown exceptionnel
Moi, j’aurais du mal à comprendre la vérité du Christ autrement que comme celle du clown : avec beaucoup de délicatesse, il indique qu’il y a quelque chose de plus beau, et de bien plus drôle que toutes les petites vérités qu’on se bricole. C’est une vérité qui ne s’impose pas, qui ne dit jamais rien comme une leçon. Elle est fragile, elle repose sur mon consentement à desserrer les dents et à ouvrir les mains. En fait, Jésus est un clown exceptionnel. Il a réussi une chose exceptionnelle : faire descendre sur la piste ceux qui étaient dans le public, pour qu’ils jouent avec lui et continuent ensuite son numéro. Extrait de Dieu, tu connais ? Éd. le Sénevé, Paris, 2005, p. 76 à 78 – Chapitre : « La vérité du clown » « Dieu m’a fait rire.
Je ferai rire qui l’apprendra. » (Genèse 21,6) Il n’y a pas souvent d’éclats de rire dans la Bible… On y retrouve plus souvent le jeu, la devinette, un humour subtil tel qu’on le reconnaît encore aujourd’hui chez de nombreux héritiers de la tradition juive. C’est d’ailleurs souvent le ton de Jésus lorsqu’il instruit ses disciples ou lorsqu’il confronte les pharisiens. « Dieu m’a fait rire ». Le rire de Sara est bien là, inscrit même à deux reprises dans le livre de la Genèse. D’abord au moment où celle-ci apprend qu’elle donnera naissance à un fils alors qu’elle a atteint un âge avancé et, à nouveau, à la naissance de celui-ci. Le rire de Dieu se révèle aussi à travers Sara et c’est le sens du nom qui est donné à ce fils que Sara et Abraham n’espéraient plus : Isaac qui veut dire « Dieu rit ». Ce texte biblique n’est pourtant pas marginal. Il est au contraire mis au fondement de toute notre tradition de foi. Nous sommes donc bien loin du Dieu sévère, rigide, intransigeant et même menaçant qui a longtemps été privilégié au service du désir de contrôle et de pouvoir de certains. Le rire qui est présent dans ces passages de la Bible a quelque chose de subversif. Le rire ouvre des possibilités de vie et c’est par lui que Dieu se manifeste. [...] J’aime croire que la capacité de Sara de faire de temps en temps des pieds de nez à la réalité lui a permis de vivre si longtemps en préservant son audace. Il me semble que de rire de Dieu comme elle l’a fait est audacieux pour une femme de son époque. D’une certaine façon, elle met Dieu au défi tout en acceptant d’entendre ce qui semble incongru, impensable et impossible. Le rire de Sara me fait penser à toutes les stratégies que les femmes adoptent pour faire des pieds de nez à la réalité, pour contester le patriarcat, pour faire advenir de nouvelles réalités. Il me semble que Dieu doit parfois avoir un petit rire en coin ou même de bons éclats de rire quand les femmes forcent les hommes à considérer différemment les choses que ce soit en politique, dans les milieux de travail ou dans l’Église. Ces pieds de nez ne sont-ils pas un peu la caractéristique de vous toutes, femmes de L’autre Parole ? Dieu doit avoir un rire affectueux quand il vous voit partager et célébrer votre foi en toute cohérence… https://www.lautreparole.org/le-rire-de-dieu-une-affaire-serieuse/ |
Les anges de l’ombre Salvatore Adamo Tu vis tranquille ta vie standard Avec ses plaisirs et ses peines Un seul matin t’es dans l’brouillard Au son d’une sirène on t’emmène Tu te réveilles à l’hôpital À bout de force et sans repère Et ben qu’en patience tu prennes ton mal Tu soupires et tu désespères Vêtu blanc Des hommes des femmes Portent de lit en lit... Leur lot d’espoir Blessures du corps Blessures de l’âme Sont leurs combats... Pour ta victoire Ils sont tous autour de toi Les anges de l’ombre Tu te raccroches à leurs voix Aux heures les plus sombres Et tu cherches dans leurs regards Une lueur qui rassure Et dans ta tête tu repars Pour d’autres aventures Et enfin tu crois encore Que la vie t’attend juste à côté Avec des rêves prêts à éclore Dans un avenir retrouvé Et la souffrance enfin s’oublie La vie reprend son doux ron-ron Maintenant tu sais qu’au moindre ennui Pressant le pas ils accourront Ils sont tous autour de toi Les anges de l’ombre Tu t‘accroches à leurs voix Aux heures les plus sombres Et tu cherches dans leurs regards La lueur qui rassure Et dans ta tête tu repars Pour de nouvelles aventures Et ils sont toujours autour de toi Les anges de l’ombre Merci encore Le clown
Le rire emporte la fragilité de mon corps, Petit acrobate du handicap, Toujours à la recherche de l’équilibre Si naturellement désaccordé. Et au moment fatidique, Quand la chute paraît inéluctable, Devant l’angoisse partagée, Le clown apparaît, Resplendissant. Et, d’une bouche écartelée, D’un revers irraisonnable, Il éclate de rire Pour balayer ses larmes et saisir, Dans une petite goutte d’éternité, L’insoutenable beauté De la vie. Paul Melki Clown Un jour. Un jour, bientôt peut-être. Un jour j’arracherai l’ancre qui tient mon navire loin des mers. Avec la sorte de courage qu’il faut pour être rien et rien que rien, je lâcherai ce qui paraissait m’être indissolublement proche. Je le trancherai, je le renverserai, je le romprai, je le ferai dégringoler. D’un coup dégorgeant ma misérable pudeur, mes misérables combinaisons et enchaînement "de fil en aiguille". Vidé de l’abcès d’être quelqu’un, je boirai à nouveau l’espace nourricier. A coup de ridicules, de déchéances (qu’est-ce que la déchéance ?), par éclatement, par vide, par une totale dissipation-dérision-purgation, j’expulserai de moi la forme qu’on croyait si bien attachée, composée, coordonnée, assortie à mon entourage et à mes semblables, si dignes, si dignes, mes semblables. Réduit à une humilité de catastrophe, à un nivellement parfait comme après une intense trouille. Ramené au-dessous de toute mesure à mon rang réel, au rang infime que je ne sais quelle idée-ambition m’avait fait déserter. Anéanti quant à la hauteur, quant à l’estime. perdu en un endroit lointain (ou même pas), sans nom, sans identité. Clown, abattant dans la risée, dans le grotesque, dans l’esclaffement, le sens que contre toute lumière je m’étais fait de mon importance. Je plongerai. Sans bourse dans l’infini-esprit sous-jacent ouvert à tous ouvert à moi-même à une nouvelle et incroyable rosée à force d’être nul et ras… et risible… Henri Michaux, « Peintures » (1939,) in L’espace du dedans, Pages choisies, Poésie / Gallimard, 1966, p.249 L’une des façons de cultiver le rire
est de le faire naître chez les autres Cela peut paraître simpliste mais n’avez-vous jamais ressenti le bonheur de faire rire une personne de votre entourage? Vous pouvez apporter le rire de nombreuses façons. Vous pouvez, par exemple, vous pratiquer devant le miroir à faire des mimiques, pratiquer des démarches et des voix loufoques ou apprendre à raconter des histoires comiques. Par la suite, vous pouvez exercer ces nouveaux pouvoirs auprès des gens de votre entourage. Pour ma part, j’ai commencé à porter un serre-tête en forme de licorne lorsque je suis en voyage ou quand je me promène en été à Montréal. Au départ, je me sentais un peu timide car je ne suis pas une personne qui cherche à se faire remarquer. Mais, j’y ai pris goût quand je vois l’étincelle dans les yeux de ceux qui me regardent, aussi bien chez adultes que chez les enfants. Je vois comment un visage stressé devient tout à coup lumineux. Qui plus est, les gens m’arrêtent sur la rue pour me remercier de les faire sourire et pour me dire des choses comme "J’aime ça" et "Tu fais ma journée". Par la suite, on peut supposer que ces personnes raconteront ce moment de bonheur à d’autres personnes et s’en suivra une chaîne de sourires. Bref, parfois des actes aussi simples que d’avoir des lacets d’une couleur différente à chaque soulier ou de porter une pièce de vêtement coloré dans la grisaille peuvent apporter des sourires. Et les sourires que l’on sème nous reviennent et forment de beaux souvenirs qui nous rappellent l’importance de rire et de sourire. Dominique Loiselle Animatrice d’ateliers de découverte de soi par le clown et le conte. Bravo pour le clown
Edith Piaf Un clown est mon ami, un clown bien ridicule Et dont le nom s'écrit en gifles majuscules Pas beau pour un empire, plus triste qu'un chapeau Il boit d'énormes rires et mange des bravos Pour ton nez qui s'allume Bravo, bravo Tes cheveux que l'on plume Bravo, bravo Tu croques des assiettes assis sur un jet d'eau Tu ronges des paillettes, tordu dans un tonneau Pour ton nez qui s'allume Bravo, bravo Tes cheveux que l'on plume Bravo, bravo La foule aux grandes mains s'accroche à ses oreilles Lui vole ses chagrins et vide ses bouteilles Son cœur qui se dévisse ne peut les attrister C'est là qu'ils applaudissent, la vie qu'il a ratée Pour ta femme infidèle Bravo, bravo Et tu fais la vaisselle Bravo, bravo Ta vie est un reproche qui claque dans ton dos Ton fils te fait les poches et toi, tu fais l'idiot Pour ta femme infidèle Bravo, bravo Et tu fais la vaisselle Bravo, bravo Le cirque est déserté, le rire est inutile Mon clown est enfermé dans un certain asile Succès de camisole, bravos de cabanon Des mains devenues folles lui battent leur chanson Je suis roi et je règne Bravo, bravo J'ai des rires qui saignent Bravo, bravo Venez, que l'on m'acclame, j'ai fait mon numéro Tout en jetant ma femme du haut du chapiteau Bravo, bravo, bravo, bravo Pour écouter : https://www.youtube.com/watch?v=0xjFEVF2n8w |
Contacts :
Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
[email protected]
Charles REUL
04/380.39.11
[email protected]
Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be
Pierre-Charles LIGOT
[email protected]
Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.
Voir le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
[email protected]
Charles REUL
04/380.39.11
[email protected]
Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be
Pierre-Charles LIGOT
[email protected]
Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.
Voir le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
Nous sommes quelques personnes désireuses de créer ensemble un lieu où nos différentes conceptions du sens à donner à nos vies et à la vie en société sont mises en dialogue avec les évangiles, les événements du monde, nos lectures, nos rencontres… dans un climat d'écoute et d'échange.
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année.
Nous nous adressons principalement aux jeunes adultes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX,
Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année.
Nous nous adressons principalement aux jeunes adultes de 25 à 40 ans.
Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête... et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains.
Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX,
Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT
Adresse du jour
Le Houmier Rue du Houmier 84 4140 Florzé 04/344.48.81 [email protected] Coordonnées GPS de la maison : 50.489783, 5.663939 |