Nous sommes quelques personnes désireuses de créer ensemble un lieu où nos différentes conceptions du sens à donner à nos vies et à la vie en société sont mises en dialogue avec les évangiles, les événements du monde, nos lectures, nos rencontres… dans un climat d'écoute et d'échange.
Une forme de célébration qui nous ressource, une halte offerte 4 ou 5 fois au fil de l’année. Nous nous adressons principalement aux jeunes de 25 à 40 ans. Pas de pré-requis (être croyant en Dieu…) sauf celui d’être curieux, ouvert, en quête et convaincu que le partage et la confrontation dans le dialogue permettent de devenir plus autonomes et humains. Alain HENRY de HASSONVILLE, Charles REUL, Franz HINDRYCKX, Jacqueline CALEMBERT, Jean DEWANDRE, Joëlle ROIDEAUX, Pierre-Charles LIGOT |
Au menu des dimanches du Houmier
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Ça demande énormément de force et de courage que d’accueillir notre vulnérabilité et encore plus de lui permettre de s’exprimer.
Pour plusieurs d’entre nous, c’est synonyme de faiblesse et qui dit faiblesse, dit danger de se faire blesser et ça… personne n’aime ça! Nous avons plutôt été formatés à l’inverse: tu dois te montrer fort, insensible; pleurer c’est pour les mauviettes; ne montre pas tes faiblesses, l’autre va s’en servir contre toi; reste solide comme le roc, impénétrable… Mais toute transformation véritable nous demande de retrouver cette vulnérabilité que nous avions étant enfant, de laisser tomber nos cuirasses qui nous étouffent plus qu’elles ne nous protègent, et de nous exposer totalement à ce changement qui vient frapper à notre porte. Refuser ou nier notre vulnérabilité, c’est nier une partie de nous-mêmes; c’est fermer la porte par laquelle la Vie pourrait s’immiscer pour amorcer le changement qui nous permettrait de mourir à ce qui n’a plus sa raison d’être afin de renaître à qui nous sommes en droit de devenir. Nous avons tous ce même réflexe de venir en aide à un enfant démuni et sans défense. C’est plus fort que nous… Alors pourquoi ne pas avoir ce même réflexe envers nous-mêmes? Si, actuellement, vous vivez quelque chose qui vous dépasse, qui vous surpasse et que vous avez vraiment peur de ne pas être capable de traverser, plutôt que de jouer les durs de durs, acceptez d’être vulnérable, baissez les armes. C’est uniquement par cette porte que la Vie pourra venir vous aider ! https://www.magazinevivre.com/citations?id=412 |
Etre vulnérable
est la force de l'amour." Steve Lambert, auteur Enfants, nous pensions que nous serions moins vulnérables une fois adultes. Toutefois, devenir adulte signifie accepter la vulnérabilité. Vivre, veut dire être vulnérable. Madeleine L'Engle (1918 - 2007) Parce qu’ils ne sont pas blessés, ils ne sont pas vulnérables. Parce qu’ils ne manquent de rien, on ne leur apporte rien. Parce qu’ils ne manquent de rien, on ne leur apporte pas ce qui est tout. La charité même de Dieu ne panse point celui qui n'a pas de plaies. C'est parce qu'un homme était par terre que le Samaritain le ramassa. C'est parce que la face de Jésus était sale que Véronique l'essuya d'un mouchoir. Or celui qui n'est pas tombé ne sera jamais ramassé ; et celui qui n'est pas sale ne sera pas essuyé. Charles Péguy, "Note conjointe sur M." Descartes et la philosophie cartésienne La rencontre entre la force et la faiblesse peut permettre une interaction où le faible trouve une certaine sécurité pour vivre, se développer, et où le fort apprend à accueillir sa propre vulnérabilité et à découvrir le sens véritable de la vie humaine. Jean Vanier, "Les signes des temps", Albin Michel |
On peut juger la grandeur d'une société
à la façon dont les personnes considérées
comme faibles sont traitées...

Des miettes de pitié ne font pas une relation ; la compassion ne dispense pas de la reconnaissance. Tout être déchu de sa valeur sociale est menacée de tomber hors du monde...
Il ne faut jamais se guérir du mal des autres...
Charles Gardou, "La société inclusive, parlons-en, Eres
Il faudrait en finir avec cette idée d'une personne handicapée protégée, prise en compte ou prise en charge, mais qui ne posséderait pas, en elle -même les clés de son de son évolution émancipatrice...
L'épreuve fondamentale de l'autre dans sa différence est une rencontre permanente. Quand je pense à l'autre dans sa différence, je n'ai aucune image spécifique de handicap dans ma tête....
L'enfant, la personne handicapée vous oblige à voir ce qui ne s'inscrit pas dans la norme. Là où les responsables souhaiteraient les mouvement d'un seul cœur, ils ne peuvent offrir qu'une place particulière dans un bouquet de diversité.
Charles Gardou, "Professionnels auprès des personnes handicapées", Eres
Comment permettre à ceux que le hasard de la naissance ou de la vie a stigmatisés d'être reconnus sans condition comme sujets et de jouer pleinement leur rôle dans la communauté humaine...
Par la déchirure, l'altération de notre propre image qu'elles nous imposent, les personnes en situation de handicap nous provoquent paradoxalement à exister, c'est à dire à être en dehors de soi, à découvrir sans cesse que nous sommes autres et que l'autre n'est pas seulement ce que nous croyons ou désirons de lui...
Charles Gardou, "Fragments sur le handicap", Eres
Il ne faut jamais se guérir du mal des autres...
Charles Gardou, "La société inclusive, parlons-en, Eres
Il faudrait en finir avec cette idée d'une personne handicapée protégée, prise en compte ou prise en charge, mais qui ne posséderait pas, en elle -même les clés de son de son évolution émancipatrice...
L'épreuve fondamentale de l'autre dans sa différence est une rencontre permanente. Quand je pense à l'autre dans sa différence, je n'ai aucune image spécifique de handicap dans ma tête....
L'enfant, la personne handicapée vous oblige à voir ce qui ne s'inscrit pas dans la norme. Là où les responsables souhaiteraient les mouvement d'un seul cœur, ils ne peuvent offrir qu'une place particulière dans un bouquet de diversité.
Charles Gardou, "Professionnels auprès des personnes handicapées", Eres
Comment permettre à ceux que le hasard de la naissance ou de la vie a stigmatisés d'être reconnus sans condition comme sujets et de jouer pleinement leur rôle dans la communauté humaine...
Par la déchirure, l'altération de notre propre image qu'elles nous imposent, les personnes en situation de handicap nous provoquent paradoxalement à exister, c'est à dire à être en dehors de soi, à découvrir sans cesse que nous sommes autres et que l'autre n'est pas seulement ce que nous croyons ou désirons de lui...
Charles Gardou, "Fragments sur le handicap", Eres
On était là, surpris, quand on l’entendait dire :
"Ces petits étaient mes frères. Et chaque fois que vous ne l’avez pas fait pour eux, mais c’est pour moi aussi que vous ne l’avez pas fait."
Et nous, on avait tant prié et supplié, en privé et en public. Et respecté les lois et tous les commandements. La messe tous les dimanches, et même aux premiers rangs. Et des retraites aussi, des réunions de prière. Et la morale aussi, qu’on avait respectée, et ce n’était pas rien. Et puis le bon exemple, que l’on avait donné, et ce n’était pas comme d’autres…
Et on ne l’avait pas vu ?...
Louis Dubois, "Chemins d’évangile", p.64
Dieu dans tous les lieux de solidarité humaine
Le Dieu d’amour peut-il habiter le vide qui sépare et divise les êtres et les peuples ? Sa présence est dans la présence des uns aux autres. Présence de partage.
Yacynthe Vulliez, "Dieu si proche", p.179
On a fabriqué un dieu législateur, prêt à punir, un dieu de dureté qui nous culpabilise parce qu’on ne suit pas la loi ; on a fabriqué un dieu qui approuve des rites et des actions extérieures, mais qui ignore le cœur humain. Le vrai Dieu est le Dieu de la vie, caché au plus profond du coeur humain, qui ne juge pas, qui ne condamne pas.
Jean Vanier, "Toute personne est une histoire sacrée", Plon
"Ces petits étaient mes frères. Et chaque fois que vous ne l’avez pas fait pour eux, mais c’est pour moi aussi que vous ne l’avez pas fait."
Et nous, on avait tant prié et supplié, en privé et en public. Et respecté les lois et tous les commandements. La messe tous les dimanches, et même aux premiers rangs. Et des retraites aussi, des réunions de prière. Et la morale aussi, qu’on avait respectée, et ce n’était pas rien. Et puis le bon exemple, que l’on avait donné, et ce n’était pas comme d’autres…
Et on ne l’avait pas vu ?...
Louis Dubois, "Chemins d’évangile", p.64
Dieu dans tous les lieux de solidarité humaine
Le Dieu d’amour peut-il habiter le vide qui sépare et divise les êtres et les peuples ? Sa présence est dans la présence des uns aux autres. Présence de partage.
Yacynthe Vulliez, "Dieu si proche", p.179
On a fabriqué un dieu législateur, prêt à punir, un dieu de dureté qui nous culpabilise parce qu’on ne suit pas la loi ; on a fabriqué un dieu qui approuve des rites et des actions extérieures, mais qui ignore le cœur humain. Le vrai Dieu est le Dieu de la vie, caché au plus profond du coeur humain, qui ne juge pas, qui ne condamne pas.
Jean Vanier, "Toute personne est une histoire sacrée", Plon
Une présentation des chevaux d'Hippopassion :
https://www.hippopassion.be/chevaux/
Le cheval
Quand on est pressé, le cheval recule.
Proverbe chinois ; Le dictionnaire des proverbes de la Chine (1980)
Il y a un principe qu’il ne faut jamais abandonner, à savoir que le cavalier doit apprendre à se maîtriser avant de pouvoir maîtriser son cheval. C’est le principe le plus important et le plus fondamental de l’équitation.
Colonel Alois Podhajsky
https://www.hippopassion.be/chevaux/
Le cheval
Quand on est pressé, le cheval recule.
Proverbe chinois ; Le dictionnaire des proverbes de la Chine (1980)
Il y a un principe qu’il ne faut jamais abandonner, à savoir que le cavalier doit apprendre à se maîtriser avant de pouvoir maîtriser son cheval. C’est le principe le plus important et le plus fondamental de l’équitation.
Colonel Alois Podhajsky
Peyo,
cheval de coeur
Quelques jours avant Nöel, les patients de l’Ehpad-USLD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes-Unités de soins de longue durée) ont reçu la visite d’un cheval. Peyo, étalon de 13 ans et son propriétaire Hassen Bouchakour étaient dans l’établissement des Vergers de la Chartreuse de Dijon. Un cheval qui prend l’ascenseur, qui entre dans les chambres des malades, c’est déjà exceptionnel mais Peyo apporte bien plus à tous les patients qu’il croise. Ce cheval doué d’un sens extraordinaire fait l’objet d’une étude scientifique. Les caméras d’Equideo ont capté ces moments extraordinaires, voici la première partie du reportage "Peyo, cheval de coeur". Plus d’infos sur
https://www.facebook.com/lessabotsducoeur/
cheval de coeur
Quelques jours avant Nöel, les patients de l’Ehpad-USLD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes-Unités de soins de longue durée) ont reçu la visite d’un cheval. Peyo, étalon de 13 ans et son propriétaire Hassen Bouchakour étaient dans l’établissement des Vergers de la Chartreuse de Dijon. Un cheval qui prend l’ascenseur, qui entre dans les chambres des malades, c’est déjà exceptionnel mais Peyo apporte bien plus à tous les patients qu’il croise. Ce cheval doué d’un sens extraordinaire fait l’objet d’une étude scientifique. Les caméras d’Equideo ont capté ces moments extraordinaires, voici la première partie du reportage "Peyo, cheval de coeur". Plus d’infos sur
https://www.facebook.com/lessabotsducoeur/
Un film extraordinaire de 20 minutes qui montre le cheval Peyo dans un hôpital gériatique. Incroyable !
https://www.facebook.com/watch/?v=1454356628020791
"Quand vous voyez cet animal se diriger spontanément vers une personne qui souffre, se poser devant elle, fermer les yeux comme en communion avec elle, c'est absolument magique !"
Hassen Bouchakour
https://www.infirmiers.com/actualites/actualites/edito-peyo-cheval-parle-oreilles-patients.html
https://www.facebook.com/watch/?v=1454356628020791
"Quand vous voyez cet animal se diriger spontanément vers une personne qui souffre, se poser devant elle, fermer les yeux comme en communion avec elle, c'est absolument magique !"
Hassen Bouchakour
https://www.infirmiers.com/actualites/actualites/edito-peyo-cheval-parle-oreilles-patients.html

Membres atrophiés, buste tordu et visage inexpressif…
Un homme lourdement handicapé est assis sur une chaise, maintenu par la main d’un infirmier posée sur son épaule.
A côté, un message : "Soixante mille Reichsmarks [ndlr : le salaire moyen mensuel d’un ouvrier est alors de 165 RM par mois], c’est ce que cette personne souffrant d’un mal héréditaire coûte à la communauté du peuple pendant sa vie. Citoyens, c’est aussi votre argent."
Cette affiche, publiée en 1938, est brutale, mais elle n’est qu’une goutte d’eau dans le flot de photographies et de films exhibant, depuis cinq ans, enfants malformés et adultes impotents. Car, pour le Reich, il est urgent d’agir : malades héréditaires et incurables doivent bénéficier de la mort miséricordieuse (Gnadentod) qui délivrerait de leur poids leur famille et, plus généralement, la communauté du peuple. Selon Hitler, l’accomplissement de son ambition suprême, la «régénération du peuple allemand», passe donc par la sélection des forts et l’élimination des faibles.
https://www.geo.fr/voyage/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles-161366
Tout ce qui est inapte à vivre et tout ce qui est faible est éliminé. C'est d'abord l'homme et surtout l'Église qui se sont donné comme objectif de garder artificiellement en vie précisément le faible, celui qui est incapable de vivre et le médiocre.
Cité dans : La religion d'Hitler, par Arnaud de la Croix, Editions Racine, 211 p.
Un homme lourdement handicapé est assis sur une chaise, maintenu par la main d’un infirmier posée sur son épaule.
A côté, un message : "Soixante mille Reichsmarks [ndlr : le salaire moyen mensuel d’un ouvrier est alors de 165 RM par mois], c’est ce que cette personne souffrant d’un mal héréditaire coûte à la communauté du peuple pendant sa vie. Citoyens, c’est aussi votre argent."
Cette affiche, publiée en 1938, est brutale, mais elle n’est qu’une goutte d’eau dans le flot de photographies et de films exhibant, depuis cinq ans, enfants malformés et adultes impotents. Car, pour le Reich, il est urgent d’agir : malades héréditaires et incurables doivent bénéficier de la mort miséricordieuse (Gnadentod) qui délivrerait de leur poids leur famille et, plus généralement, la communauté du peuple. Selon Hitler, l’accomplissement de son ambition suprême, la «régénération du peuple allemand», passe donc par la sélection des forts et l’élimination des faibles.
https://www.geo.fr/voyage/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles-161366
Tout ce qui est inapte à vivre et tout ce qui est faible est éliminé. C'est d'abord l'homme et surtout l'Église qui se sont donné comme objectif de garder artificiellement en vie précisément le faible, celui qui est incapable de vivre et le médiocre.
Cité dans : La religion d'Hitler, par Arnaud de la Croix, Editions Racine, 211 p.
« Une conception morale et religieuse de la vie exige que ceux qui sont malades héréditaires ne soient pas autorisés à se reproduire. »
Dans la préface à la première traduction de l’ouvrage de Darwin, L’origine des espèces, voici ce qu’écrivait en 1862 Clémence Royer :
« … Je veux parler de cette charité imprudente et aveugle pour les êtres mal constitués où notre ère chrétienne a toujours cherché l’idéal de la vertu sociale et que la démocratie voudrait transformer en une source de solidarité obligatoire, bien que sa conséquence la plus directe soit d’aggraver et de multiplier dans la race humaine les maux auxquels elle prétend porter remède. On arrive ainsi à sacrifier ce qui fort à ce qui est faible, les bons aux mauvais, les êtres biens doués d’esprit et de corps aux être vicieux et malingres.
Que résulte-t-il de cette protection inintelligente accordée exclusivement aux faibles, aux infirmes, aux incurables, aux méchants eux-mêmes, enfin à tous les disgraciés de la nature ? C’est que les maux dont ils sont atteints tendent à se perpétuer indéfiniment… Pendant que tous les soins, tous les dévouements de l’amour et de pitié sont considérés comme dus aux représentants déchus ou dégénérés de l’espèce, rien ne tend à aider la force naissante, à la développer, à multiplier le mérite, le talent ou la vertu » (p. XXXIV-XXXV)[3].
Clémence Royer, Philosophe des sciences (1830-1902)
Dans la préface à la première traduction de l’ouvrage de Darwin, L’origine des espèces, voici ce qu’écrivait en 1862 Clémence Royer :
« … Je veux parler de cette charité imprudente et aveugle pour les êtres mal constitués où notre ère chrétienne a toujours cherché l’idéal de la vertu sociale et que la démocratie voudrait transformer en une source de solidarité obligatoire, bien que sa conséquence la plus directe soit d’aggraver et de multiplier dans la race humaine les maux auxquels elle prétend porter remède. On arrive ainsi à sacrifier ce qui fort à ce qui est faible, les bons aux mauvais, les êtres biens doués d’esprit et de corps aux être vicieux et malingres.
Que résulte-t-il de cette protection inintelligente accordée exclusivement aux faibles, aux infirmes, aux incurables, aux méchants eux-mêmes, enfin à tous les disgraciés de la nature ? C’est que les maux dont ils sont atteints tendent à se perpétuer indéfiniment… Pendant que tous les soins, tous les dévouements de l’amour et de pitié sont considérés comme dus aux représentants déchus ou dégénérés de l’espèce, rien ne tend à aider la force naissante, à la développer, à multiplier le mérite, le talent ou la vertu » (p. XXXIV-XXXV)[3].
Clémence Royer, Philosophe des sciences (1830-1902)
Contacts :
Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
[email protected]
Charles REUL
04/3/80.39.11
[email protected]
Joëlle ROIDEAUX
joelle.roideaux@hotmail.com
Franz HINDRYCKX
franz.hindryckx@skynet.be
Pierre-Charles LIGOT
[email protected]
Projet d’un lieu ouvert où se rencontrer pour partager nos recherches de sens.
Voir le document qui est à l'origine des "Dimanches du Houmier"
Alain et Jacqueline HENRY de HASSONVILLE
04/344.48.81
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Pierre-Charles LIGOT
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Adresse du jour
Le Houmier Rue du Houmier 84 4140 Florzé 04/344.48.81 [email protected] Coordonnées GPS de la maison : 50.489783, 5.663939 |